Cettemanifestation qui se veut festive a pour but de faire découvrir ou admirer quelques uns des meilleurs joueurs du circuit aux personnes qui ne peuvent assister en direct aux rencontres prévues à Morez (39) durant la saison. La confrontation entre les 2 équipes de Rouen (équipe du champion d’Europe Français Emmanuel LEBESSON) et Jura-Morez se déroulera le
Normandie hebdo - - 0313 - vidéo Rouen avait déjà été touchée en 1940 par les allemands. Le 19 avril 1944, les avions alliés lachent sur les quias et les ponts 345 bombes faisant 900 morts. Du 30 mai au 5 juin, c'est la "semaine rouge", l'agglomération est transformée en brasier. La cathédrale est en flamme, la vieille ville subit des dégâts irréparables, Rouen déplore 1500 morts. Deux rouennais Louis et Jacques LEFEBVRE témoignent. Producteur / co-producteur France 3 Rouen Générique Journaliste Marc Saikali Descripteurs bombardement, débarquement, Libération-époque, Rouen, Seconde Guerre mondiale S'orienter dans la galaxie INA Vous êtes particulier, professionnel des médias, enseignant, journaliste... ? Découvrez les sites de l'INA conçus pour vous, suivez-nous sur les réseaux sociaux, inscrivez-vous à nos newsletters. Suivre l'INA éclaire actu Chaque jour, la rédaction vous propose une sélection de vidéos et des articles éditorialisés en résonance avec l'actualité sous toutes ses formes.
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Du23 au 28 septembre 1895: 28 fédérations, 18 bourses du travail, 26 chambres syndicales se réunissent à Limoges et créent la C.G.T., ils apportent un élément supplémentaire inscrit dans les statuts: "Les éléments constituants la Confédération Générale du Travail devront se tenir en dehors de toutes les écoles politiques. La C.G.T a exclusivement pour objet d'unir sur le
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Unepetite douceur en préambule à la parade d’ouverture du festival « J’entends des voix »: samedi 30 mai après-midi, les cinq demoiselles de Face à la mer se font entendre place de la Cathédrale, puis place du 19-Avril-1944. Bain de fraîcheur et de tendresse avec ce groupe parisien de chanson à texte qui a sorti un premier album
HISTOIRE DE L’HÔPITAL Aux origines de l’Hôpital » l’ancienne Maison de Saint-Yon L’histoire de hôpital du Rouvray commence au XVIIIe siècle avec le Couvent de Saint-Yon, administré par les Frères des Écoles Chrétiennes actuel Pôle des Savoirs en 1740, cette maison d’éducation se dota d’un pensionnat de force » et d’une section destinée aux jeunes aliénés. Le couvent disparut à la Révolution 1792. Un Dépôt de Mendicité y fut institué en 1808. Il fut remplacé en 1821 par l’Hospice d’Aliénés où furent mises en œuvre les toutes nouvelles théories de Pinel et Esquirol. Malgré plusieurs séries de travaux, l’hospice se trouva vite en surpopulation. Il ouvrit bientôt une succursale » à Quatre-Mares, matrice du futur CHR. De 1845 aux années 1920 À la fin du XIXe siècle, l’hospice était divisé en deux parties distinctes. Celles-ci furent longtemps administrées séparément, seuls les Services Généraux et la Commission de Surveillance étant communs. Sur les terres de Sotteville, la partie nommée Quatre-Mares » était dédiée aux hommes. Elle fut édifiée entre 1845 et 1854 par l’architecte Grégoire, sous l’égide de Deboutteville et Parchappe. La partie orientale, connue sous le nom de Saint-Yon » et située sur la commune de Saint-Etienne, était dédiée aux femmes. Projetée dès 1867, elle fut construite entre 1875 et 1879 sur les plans de Desmarets. Elle resta administrée par la communauté des sœurs de Saint-Yon. Bien que conçus séparément, les deux asiles répondaient parfaitement par le choix du site et l’ordonnancement des bâtiments aux nouveaux standards de l’architecture fonctionnelle, hygiéniste et tout particulièrement aliéniste Pinel, Esquirol, Parchappe. Dans un cadre champêtre et aéré, les malades étaient ainsi séparés selon le sexe, la classe sociale et le degré d’agitation. Ils vivaient cependant isolés du monde par de longs murs et en totale autarcie. Les bâtiments de chacun des asiles, répartis selon un plan rationnel, présentaient alors une grande homogénéité architecturale et étaient agrémentés de jardins cours intérieures, vastes allées plantées, etc.. Les espaces à vocation vivrière cultures, vergers, pâtures étaient rejetés à la périphérie. Seuls la ferme et les ateliers se situaient au centre, à la jonction des deux asiles. En effet, ces services étant communs, les travaux étaient confiés aux hommes tandis que les femmes étaient employées au linge. Carte postale ancienne représentant la grille d’entrée de l’Asile de Quatre-Mares au début du XXe siècle architecte Grégoire, 1845-1854, aujourd’hui détruite. De l’entre-deux guerres à la Sectorisation Les deux asiles furent réunis en une Direction commune en 1920 sous le nom de Maison de Santé Départementale. Celle-ci devint Hôpital Psychiatrique Départemental en 1938, disposant désormais d’un meilleur confort chauffage central, sanitaires, quoique surpeuplé. Par ailleurs, l’hôpital commença à s’ouvrir sur l’extérieur avec la création d’un Service libre. Pendant la deuxième guerre mondiale, l’hôpital fut bombardé en 1942 et partiellement évacué en 1943. Il subit un dramatique bombardement durant la terrible Semaine Rouge 18-19 avril 1944 60 à 70 % de ses infrastructures furent détruites par plus de 800 bombes. Il fut partiellement occupé par l’armée américaine jusqu’en 1946 mais des travaux intervinrent dès 1944 pour qu’un service d’une centaine de lits pût rouvrir en 1945. L’après-guerre vit la très lente reconstruction de l’hôpital, en lien cependant avec les approches nouvelles de la psychiatrie et l’apparition des neuroleptiques moins d’enfermement, davantage de prophylaxie, amélioration et continuité des soins somatiques, personnel mieux formé, services ouverts, structures extra-hospitalières créées dès 1951 Mignot, Bonafé. L’hôpital était désormais défini par quatre entités lui permettant d’être autosuffisant unités de soins, blocs des spécialités médico-chirurgicales, centre social et services généraux/administration. Il était alors pensé comme un village doté de pavillons. De petits groupes de malades y étaient répartis selon la nature de leur pathologie et leur potentiel de sociabilité, avec toujours la séparation hommes/femmes. Carte postale ancienne représentant le bâtiment de l’administration de l’Asile de Saint-Yon au début du XXe siècle architecte Desmarets, 1875-1879, détruit en avril 1944. De la Sectorisation géographique 1951-1963 à l’Inter-sectorialité En 1963, une importante réforme de la psychiatrie réorganisa complètement l’offre de soins en santé mentale, en créant de nouvelles unités correspondant à un découpage sectoriel du département et en développant les soins extra-hospitaliers. Les conséquences furent immédiates avec la recomposition du plan de l’établissement non plus selon la séparation par sexe mais autour d’un zonage par type d’activités. D’anciens bâtiments disparurent au profit de petits pavillons modélisés à l’espace fortement structuré. Le projet définitif fut adopté en 1969 et les premiers travaux menés de 1971 à 1972. Parallèlement, le cadre juridique de la sectorisation se mit en place. L’année 1968 vit l’ouverture du Centre Autonome de Neuropsychiatrie Infantile ainsi que la mise en application de la loi modifiant le statut des hôpitaux psychiatriques. L’Établissement Public Départemental vit le jour, disposant désormais d’une commission administrative dotée d’un pouvoir de décision. Il prit en 1973 le nom de Centre Psychiatrique du Rouvray puis en 1979, Centre Hospitalier Spécialisé du Rouvray, enfin en 1991 celui de Centre Hospitalier du Rouvray ».
Placedu 19 avril 1944, les cafés et restaurants sont portes closes, comme le montre ce reportage de nos journalistes : Seuls bouchers et le boulangers sont ouverts.
Contacts Code QR, vCard Téléphone Adresse 3 place 19 Avril 1944, Rouen, Seine-Maritime, 76000 Arrêts et stations de transports en commun proches 160 mBeaux Arts 210 mPalais de Justice 280 mSquare Verdrel Catégories Carte Vue de la rue Aujourd'hui Aujourd'hui – Heure locale Rouen 2204 mardi 16 août 2022 Horaires d'ouverture lundi – mardi – mercredi – jeudi – vendredi – samedi – dimanche – Lieux apparentés Vous pourriez aussi considérer Alentours Avis sur Foncia Hauguel Pas d'inscription demandée Laissez le premier avis !
Cesruines modifient entièrement l’environnement proche de la chapelle. Dans la nuit du 19 au 20 avril 1944, des bombes tombent à côté de la chapelle – vitraux et élévations sont endommagés – et à l’intérieur de l’établissement, provoquant des dégâts dans deux parties du lycée.
Accueil Découvrez toutes nos études Rouen en ruines Date de création août-44 Date représentée août-44 H. 17,7 cm L. 12,6 cm Rouen en ruines Date de publication Septembre 2014 Auteur Alexandre SUMPF Rouen sous les bombesHormis quelques pilonnages allemands en 1940, la ville de Rouen a essentiellement été la cible de l’aviation alliée. Déjà bombardée par les armées de l’air anglaise et américaine en septembre 1942 et en septembre 1943, la cité subit plusieurs vagues de feu d’importance en 1944. Après le 19 avril, une opération d’envergure destinée à gêner la retraite allemande et à favoriser l’avancée des troupes qui doivent être permises par le Débarquement est menée du 30 mai au 5 juin. Lors de cette semaine rouge » l’agglomération est lourdement touchée hormis les cibles militaires ponts sur la Seine, port et gares de triage, le patrimoine architectural cathédrale, églises, palais de justice, etc. et les infrastructures sont aussi gravement 25 août, enfin, l’aviation alliée bombarde massivement l’armée du général von Kluge, en retraite après avoir échappé à l’encerclement de Falaise. Quand la ville est libérée le 30 août, elle est assez largement détruite comme le montre la photographie Ruines de Rouen, vraisemblablement prise à ce moment. On estime à près de 3000 le nombre de civils rouennais qui auraient été tués lors de ces attaques diffusées, les images des ruines de Rouen ont une valeur documentaire mais aussi une portée politique et symbolique, différente selon le camp dans lequel on se place allemand, français, alliés. Une ville éventréePrise en août 1944 dans le cadre d’un photoreportage, Ruines de Rouen montre la ville à partir du clocher de la cathédrale elle-même encore debout mais très endommagée. La vue d’ensemble offre tout d’abord l’impression d’une cité éventrée, puisque c’est bien le creux central qui frappe d’abord le regard du spectateur. En effet, la béance laissée par les bombes semble plutôt soulignée que contredite par les édifices qui restent debout, plus nombreux au second plan. Si l’on distingue en effet une ville un peu moins touchée plus loin, le contraste entre le plein et le vide, entre le sombre des bâtiments et la blancheur du champ de ruines n’en est que plus même, si l’on se penche sur le détail des bâtiments détruits visibles au centre et sur la gauche du cliché, on aperçoit qu’ils sont comme vidés. Les pans de murs ou des armatures métalliques désormais inutiles qu’ils laissent subsister donnent ainsi une impression squelettique et presque fantomatique. Au sol, on devine un champ de gravats où quelques volumes saillent encore, plus menaçants que si la hauteur où se place le photographe peut aussi expliquer ce point, on est aussi marqué par l’absence de toute trace humaine. Nulle activité, nul véhicule, nul attroupement ne viennent nuancer ce spectacle de désolation, de désert et de ruines. Le prix de la liberté ? L’auteur de Ruines de Rouen est vraisemblablement un photographe lié à l’armée alliée, même s’il pourrait aussi s’agir d’un reporter français plus indépendant autorisé à occuper ce point de vue. A l’instar des nombreuses images de la ville détruite, le cliché entend d’abord témoigner de la violence des combats qui ont marqué Rouen entre avril et août 1944 ainsi que des destructions qui en ont de cette valeur documentaire, Ruines de Rouen a aussi une portée symbolique ambivalente qui peut être interprétée différemment. Pour les alliés, la photographie peut évoquer la puissance de frappe d’une armée en marche vers la victoire. La destruction de la ville ne renvoie pas alors aux victimes civiles ou à la perte d’un patrimoine, mais à l’anéantissement de l’armée nazie en déroute qui s’y était les nazis et les collaborateurs elle peut être utilisée comme des images plus anciennes de villes bombardées par les alliés pour montrer aux populations encore sous contrôle allemand à cette date que les libérateurs » sont des criminels bien pires que l’occupant » les Français fraichement délivrés du joug nazi, enfin, elles posent la difficile question du prix de la liberté. Les Ruines de Rouen comme celles du Havre ou de Caen évoquent en effet tout ensemble le chaos et la renaissance, la destruction et la reconstruction à venir, le malheur et l’espoir, la mort et la joie. AZÉMA Jean-Pierre, Nouvelle histoire de la France contemporaine de Munich à la Libération 1938-1944, Paris, Le Seuil, coll. Points histoire » no 114, 1979. PESSIOT Guy, Histoire de Rouen 1939-1958 la guerre 39-45 et la reconstruction en 900 photographies, Rouen, Éditions du P’tit Normand, coll. Histoire de Rouen par la photographie » no 3, 1983. VALLA Jean-Claude, La France sous les bombes américaines 1942-1945, Paris, Librairie nationale, coll. Les cahiers libres d’histoire » no 7, 2001. WIEVIORKA Olivier, Histoire du débarquement en Normandie des origines à la libération de Paris 1941-1944, Paris, Le Seuil, coll. L’univers historique », 2007. Alexandre SUMPF, Rouen en ruines », Histoire par l'image [en ligne], consulté le 16/08/2022. URL Albums liés Découvrez nos études
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3 place du 19 avril 1944 rouen