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Voici le texte intégral de la lettre de Spinoza à propos de la liberté, adressée à G. H. texte complet de la lettre est suivi par un commentaire de texte, qui constitue une correction possible si le sujet vous est posé lors d’une épreuve de corrigés vous permettront de mieux comprendre le texte et expliquent ce qu’il faut lire derrière les lignes. Néanmoins, la lecture de la lettre originale est importante avant de lire la correction – commentaire de intégral de la lettre de Spinoza sur la libertéJ’appelle libre, quant à moi, une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ; contrainte, celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir d’une certaine façon par exemple, existe librement bien que nécessairement parce qu’il existe par la seule nécessité de sa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même librement parce qu’il existe par la seule nécessité de sa nature. De même aussi Dieu se connaît lui-même et connaît toutes choses librement, parce qu’il suit de la seule nécessité de sa nature que Dieu connaisse toutes choses. Vous le voyez bien, je ne fais pas consister la liberté dans un libre décret mais dans une libre descendons aux choses créées qui sont toutes déterminées par des causes extérieures à exister et à agir d’une certaine façon déterminée. Pour rendre cela clair et intelligible, concevons une chose très simple une pierre par exemple reçoit d’une cause extérieure qui la pousse, une certaine quantité de mouvements et, l’impulsion de la cause extérieure venant à cesser, elle continuera à se mouvoir nécessairement. Cette persistance de la pierre dans le mouvement est une contrainte, non parce qu’elle est nécessaire, mais parce qu’elle doit être définie par l’impulsion d’une cause extérieure. Et ce qui est vrai de la pierre il faut l’entendre de toute chose singulière, quelle que soit la complexité qu’il vous plaise de lui attribuer, si nombreuses que puissent être ses aptitudes, parce que toute chose singulière est nécessairement déterminée par une cause extérieure à exister et à agir d’une certaine manière maintenant, si vous voulez bien, que la pierre, tandis qu’elle continue de se mouvoir, pense et sache qu’elle fait effort, autant qu’elle peut, pour se mouvoir. Cette pierre assurément, puisqu’elle a conscience de son effort seulement et qu’elle n’est en aucune façon indifférente, croira qu’elle est très libre et qu’elle ne persévère dans son mouvement que parce qu’elle le est cette liberté humaine que tous se vantent de posséder et qui consiste en cela seul que les hommes ont conscience de leurs appétits et ignorent les causes qui les déterminent. Un enfant croit librement appéter le lait, un jeune garçon irrité vouloir se venger et, s’il est poltron, vouloir fuir. Un ivrogne croit dire par un libre décret de son âme ce qu’ensuite, revenu à la sobriété, il aurait voulu taire. De même un délirant, un bavard, et bien d’autres de même farine, croient agir par un libre décret de l’âme et non se laisser préjugé étant naturel, congénital parmi tous les hommes, ils ne s’en libèrent pas aisément. Bien qu’en effet l’expérience enseigne plus que suffisamment que, s’ils est une chose dont les hommes soient peu capables , c’est de régler leurs appétits et, bien qu’ils constatent que partagés entre deux affections contraires, souvent ils voient le meilleur et font le pire, ils croient cependant qu’ils sont libres, et cela parce qu’il y a certaines choses n’excitant en eux qu’un appétit léger, aisément maitrisé par le souvenir fréquemment rappelé de quelque autre SPINOZA, lettre à Schuller, Lettre LVIII, in ŒuvresCommentaire de texte Explications sur la lettre de Spinoza à propos de la liberté[INTRODUCTION][Thème]Dans sa correspondance, dont une partie prend place après la parution de l’Ethique, Spinoza a maintes fois l’occasion d’aborder le thème de la liberté. Il en est ici de nouveau question.[Présentation de l’auteur]Baruch Spinoza est un philosophe néerlandais du XVIIe siècle, dont les écrits lui ont valu une excommunication de la communauté juive. Si ses ouvrages sont alors scandaleux, ce n’est pas tant par un quelconque refus de la religion, mais bien par sa réinterprétation ou son interprétation simplement des concepts religieux mais aussi philosophiques, au nombre desquels la liberté doit compter.[Enjeu] Cette lettre s’inscrit donc à une époque où la liberté entendue comme libre-arbitre veut être préservée, notamment pour rendre compte du péché comme acte délibéré et contre la réforme protestante qui un siècle plus tôt en Europe également ouvre la voie à la notion de prédestination.[Problématique] Ainsi, le problème auquel répond Spinoza dans sa lettre à G. H. Schuller est celui de comprendre comment le préjugé du libre-arbitre peut être percé et élucidé par les êtres humains. Comment la liberté peut être conçue pour ce qu’elle est, à savoir une libre nécessité plutôt qu’un libre décret, ce dernier n’étant qu’une illusion ?[Thèse]Spinoza souligne l’importance de se défaire des superstitions, au rang desquelles appartient le libre-arbitre, et qui réside dans le fait que l’homme pense savoir qu’il vit selon sa propre décision, alors qu’il ne fait que suivre la nécessité.[Plan]Pour aboutir à cette thèse, il est possible d’identifier trois mouvements dans le texte selon ses trois paragraphes d’abord, Spinoza rappelle les conclusions de l’Ethique, en précisant ce qu’i appelle liberté. Puis il fait voir les développements et les conséquences de ces conclusions en insistant sur le fait que toute chose est déterminée si elle est singulière. Enfin, il porte un coup à l’illusion de maîtrise des hommes en dévoilant par plusieurs exemples que l’homme n’est pas cet empire dans un empire » Ethique qu’il croit être.[Importance]Cette découverte, à savoir que la liberté en tant que libre-arbitre n’est qu’illusion, est fondamentale dans l’histoire de la philosophie, puisque les auteurs à venir ne feront que se situer par rapport à Spinoza sur cette question ; d’où la phrase de Hegel l’alternative est Spinoza ou pas de philosophie. ».[PREMIÈRE PARTIE]Dans la première partie, Spinoza entend donc rappeler les conclusions de l’ commence donc par faire la distinction entre ce qui est libre et contraint. Est libre une chose qui est et agit par la seule nécessité de sa nature ». Pour Spinoza, la nécessité consiste en ce qui ne peut pas ne pas être, ce qui dans l’Ethique vaut pour Dieu lui-même et donc le monde. Si tout n’est pas libre, tout est nécessaire pour Spinoza. Le contingent n’est pas une caractéristique du monde possible. Il est donc plus important d’insister sur les mots la seule nécessité de sa nature » dans le sens où rien d’extérieur n’intervient, et c’est ce qui donne le caractère libre. Au contraire, ce qui est contraint est déterminé par une autre à exister ». C’est bien l’agent extérieur qui fonde la distinction, car tout est est il est possible de dire de Dieu qu’il est libre. Car si lui-même est nécessaire, c’est-à -dire qu’il n’aurait pas pu ne pas être ou être différent, pour autant rien ne l’a poussé à exister ou à persévérer dans son être de manière causale et par un agent extérieur. Dieu, également, connaît toutes choses librement » de façon évidente à la lecture de l’Ethique, puisque Dieu consiste en le monde entier, il est illimité et infini, ces attributs dérivant de sa nature par définition. Puisqu’il est toutes choses, il connaît » toutes pourquoi Spinoza rectifie contre la possibilité de galvauder les termes l’idée que la liberté pour lui reviendrait au libre décret » notion synonyme de libre-arbitre » tel qu’il est posé par Saint Thomas d’Aquin dans sa Somme théologique, décret » insistant sur le pouvoir décisionnel. La liberté pour Spinoza consiste donc à suivre sa propre nature, et rien d’autre.[DEUXIÈME PARTIE]Dans la seconde partie de ce texte, Spinoza prend l’exemple d’une chose singulière pour rendre compte qu’elle est déterminée par une cause extérieure et donc bien comprendre l’exemple que prend Spinoza, il convient de voir qu’i prépare en fait une comparaison avec l’être humain. Mais à ce moment, Spinoza se contente de descendre » à une chose singulière, dont personne n’affirme ou n’a affirmé qu’elle pourrait être libre en l’occurrence une pierre. Ainsi une pierre jetée par quelqu’un, ou entraînée par quelque chose d’autre, imprimera un mouvement et sera en déplacement. Personne ne soupçonnerait alors que cette pierre est libre. Si cette réflexion servira pour la troisième partie, dans la présente Spinoza définit ainsi une chose contrainte, et généralise depuis a pierre à toute chose singulière, c’est-à -dire toute chose qui est unique et bien présente, matérielle. Il est important de dire que Spinoza inclut les êtres vivants, animaux comme humains, visés en particulier par formule quelque chose la complexité qu’il vous plaise de lui attribuer ». Ainsi il n’est pas de différence radicale entre une pierre, un animal et un être humain, si ce n’est par la complexité, qui sont tous des choses singulières. Or toute chose chose singulière, donc un homme u compris, existe par une cause et d’une certaine façon déterminée, tout comme la pierre a été jetée. La seule exception étant bien sûr Dieu, qui n’est provoqué ou engendré par aucune cause extérieure ni déterminé à agir d’aucune sorte.[TROISIÈME PARTIE]Spinoza dans la troisième partie montre par l’exemple comment comprendre le préjugé du démonstration par l’exemple passe par l’idée d’accorder à la pierre, donc pour rappel personne ne soupçonne qu’elle soit libre, la pensée et la conscience. Bien sûr le parallèle avec l’homme est voulu et important. Il s’agit pour Spinoza de faire voir que l’homme a simplement conscience et sait qu’il se meut et qu’il persévère dans son mouvement » sans pour autant être maître de ses actions, sans qu’il ne soit cet empire dans un empire », illusion dénoncée déjà dans l’Ethique. Ainsi que la pierre n’est pas dotée de liberté mais est contrainte, de même l’homme est déterminé. L’illusion tient donc seulement au fait que les hommes sont conscients de leur conatus, terme spinoziste décrivant l’effort de persévérer dans son être. Mais les hommes ne se rendant pas compte de toutes les causes qui les poussent à agir, de même que la pierre ne s’entraîne pas elle-même, ils croient alors qu’ils sont libres. Il serait possible d’ajouter que cette désillusion est une humiliation pour l’homme comme le dénote l’utilisation du terme se vante », car cette illusion participait pour l’homme de se croire tout puissant sur en ce sens énumère une série d’exemples pour renforcer son argumentation et ainsi au passage marquer le fait qu’il n’y a pas de radicale différence entre un enfant », un jeune garçon irrité », un ivrogne », un délirant » ou encore un bavard », mais surtout avec un adulte qui n’a aucune de ces conditions ou de condition similaire. Ils sont certes différents par la conscience et la pensée qu’ils ont sur eux-mêmes, mais pas du tout dans le fait qu’is sont entièrement humain, quelle que soit sa condition ou sa proximité avec des standards normaux » n’est donc pas libre dans le sens d’un libre décret. Circonstance atténuante de cette éerreur, Spinoza explique que cette illusion est naturelle, c’est-à -dire qu’elle vient à l’esprit spontanément. Mais l’Ethique est bien l’ouvrage qui appelle à se détacher de cette opinion, et cette lettre conclut de faire comprendre ce qu’est réellement la liberté pour Spinoza.[CONCLUSION][Bilan] En conclusion, il s’agit dans cette lettre à G. H. Schuller non seulement de rappeler le résultat de l’Ethique en matière de liberté, mais surtout de pourfendre définitivement le caractère illusoire du libre-arbitre, en dévoilant par l’exemple ce qu’est vraiment la liberté et ce qu’elle n’est pas.[Ouvertures] L’être humain, duquel il faut exclure tout libre-arbitre, se trouve ainsi remis à sa place dans l’immensité du monde que Dieu est. C’est pourquoi, il faudrait d’une part réfléchir sur cette humiliation, ou blessure narcissique » d’après les termes de Freud, ce dernier ne l’ayant pas inclus dans son Introduction à la psychanalyse comme une des blessures, alors qu’il pourrait être remarqué un rapprochement avec la critique de l’inconscient, qui pousse à dire que l’homme n’est pas son propre maître. D’autre part, il serait intéressant de voir comment pour Spinoza la destruction de l’illusion du libre-arbitre conduit à mieux connaître Dieu, et par conséquent se rapprocher de la félicité.→ Explications du Discours de la Méthode – Descartes
HenriBergson Le rire Essai sur la signification du comique La Bibliothèque électronique du Québec Collection Philosophie Volume 16 : version 1.0 2. Elle permet la mémoire, et la mémoire permet la conscience, qui comme nous l'avons vu, permet le choix, et la création. : MLA: Copier Berthoz, Alain.« Les théories de Bergson sur la perception, la mémoire et le rire, au
17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 1016 Bergson – La pensée et le mouvant – Introduction, Le Mouvement rétrograde du Vrai » Telle est, consciemment ou inconsciemment, la pensée de la plupart des philosophes, en conformité d’ailleurs avec les exigences de l’entendement, avec les nécessités du langage, avec le symbolisme de la science. Aucun d’eux n’a cherché au temps des attributs positifs. Ils traitent la succession comme une coexistence manquée, et la durée comme une privation d’éternité. De là vient qu’ils n’arrivent pas, quoi qu’ils fassent, à se représenter la nouveauté radicale et l’imprévisibilité. … Ceux mêmes, en très petit nombre, qui ont cru au libre arbitre, l’ont réduit à un simple choix » entre deux ou plusieurs partis, comme si ces partis étaient des possibles » dessinés d’avance et comme si la volonté se bornait à réaliser » l’un d’eux. Ils admettent donc encore, même s’ils ne s’en rendent pas compte, que tout est donné. D’une action qui serait entièrement neuve au moins par le dedans et qui ne préexisterait en aucune manière, pas même sous forme de pur possible, à sa réalisation, ils semblent ne se faire aucune idée. Telle est pourtant l’action libre. Mais pour l’apercevoir ainsi, comme d’ailleurs pour se figurer n’importe quelle création, nouveauté ou imprévisibilité, il faut se replacer dans la durée pure. …. Mais nous avons tant de peine à distinguer entre la succession dans la durée vraie et la juxtaposition dans le temps spatial, entre une évolution et un déroulement, entre la nouveauté radicale et un réarrangement du préexistant, enfin entre la création et le simple choix, qu’on ne saurait éclairer cette distinction par trop de côtés à la fois. Disons donc que dans la durée, envisagée comme une évolution créatrice, il y a création perpétuelle de possibilité et non pas seulement de réalité. Beaucoup répugneront à l’admettre, parce qu’ils jugeront toujours qu’un événement ne serait pas accompli s’il n’avait pas pu s’accomplir de sorte qu’avant d’être réel, il faut qu’il ait été possible. …. Quand un musicien compose une symphonie, son œuvre était-elle possible avant d’être réelle ? Oui si l’on entend par là qu’il n’y avait pas d’obstacle insurmontable à sa réalisation. Mais de ce sens tout négatif du mot on passe, sans y prendre garde, à un sens positif on se figue que tout chose qui se produit aurait pu être aperçue d’avance par quelque esprit suffisamment informé, et qu’elle préexistait ainsi, sous forme d’idée, à sa réalisation ; - conception absurde dans le cas d’une œuvre d’art, car dès que le musicien a l’idée précise et complète de la symphonie qu’il fera, sa symphonie est faite. Ni dans la pensée de l’artiste, ni, à plus forte raison, dans aucune autre pensée comparable à la nôtre, fût-elle impersonnelle, fût-elle même simplement virtuelle, la symphonie ne résidait en qualité de possible avant d’être réelle. » Bergson – La pensée et le mouvant – Le possible et le réel ». Au fond des doctrines qui méconnaissent la nouveauté radicale de chaque moment de l’évolution il y a bien des malentendus, bien des erreurs. Mais il y a surtout l’idée que le possible est moins que le réel, et que, pour cette raison, la possibilité des choses précède leur existence. Elles seraient ainsi représentables par avance ; elles pourraient être pensées avant d’être réalisées. Mais c’est l’inverse qui est la vérité. Si nous laissons de côté les systèmes clos, soumis à des lois purement mathématiques, isolables parce que la durée ne mord pas sur eux, si nous considérons l’ensemble de la réalité concrète ou tout simplement le mode de la vie, et à plus forte raison celui de la conscience, nous trouvons qu’il y a plus, et non pas moins, dans la possibilité de chacun des états successifs que dans leur réalité. Car le possible n’est que le réel avec, en plus, un acte de l’esprit qui en rejette l’image dans le passé une fois qu’il s’est produit. Mais c’est ce que nos habitudes intellectuelles nous empêchent d’apercevoir. Au cours de la grande guerre, des journaux et des revues se détournaient parfois des terribles inquiétudes du présent pour penser à ce qui se passerait plus tard, une fois la paix établie. L’avenir de la littérature, en particulier, les préoccupait. On vint un jour me demander comment je me le représentais. Je déclarai, un peu confus, que je ne me le représentai pas. N’apercevez-vous pas tout au moins, me dit-on, certaines directions possibles ? Admettons qu’on ne puisse prévoir le détail ; vous avez du moins, vous philosophe, une idée de l’ensemble. Comment concevez-vous, par exemple, la grande œuvre dramatique de demain ? » Je me rappellerai toujours la surprise de mon interlocuteur quand je lui répondis Si je savais ce que sera la grand œuvre dramatique de demain, je la ferais. » Je vis bien qu’il concevait l’œuvre future comme enfermée, dès lors, dans je ne sais quelle armoire aux possibles ; je devais, en considération de mes relations déjà anciennes avec la philosophie, avoir obtenu la clef de l’armoire. Mais, lui dis-je, l’œuvre dont vous parlez n’est pas encore possible. » - Il faut pourtant bien qu’elle le soit, puisqu’elle se réalisera. » - Nin, elle ne l’est pas. Je vous accorde, tout au plus, qu’elle l’aura été. » - Qu’entendez-vous par là ? » - C’est bien simple. Qu’un homme de talent ou de génie surgisse, qu’il crée une œuvre la voilà réelle et par là même elle devient rétrospectivement ou rétroactivement possible. Elle ne le serait pas, elle ne l’aurait pas été si cet homme n’avait pas surgi. C’est pourquoi je vous dis qu’elle aura été possible aujourd’hui, mais qu’elle ne l’est pas encore. » … Le tort des doctrines, - bien rares dans l’histoire de la philosophie, - qui ont su faire une place à l’indétermination et à la liberté dans le monde, est de n’avoir pas vu ce que leur affirmation impliquait. Quand elles parlaient d’indétermination, de liberté, elles entendaient par indétermination une compétition entre des possibles, par liberté un choix entre les possibles – comme si la possibilité n’était pas créée par la liberté même ! » Published by N'DIAYE - dans Textes pour le cours
Sujet2 : Bergson, La pensée et le mouvant, 1934 Nous allons étudier un texte de Henri Bergson, La pensée et le mouvant, 1934. Dans ce texte il va évoquer la vérité. Il va évoquer une certaine
Explication de texte Français Document électronique Lycée A obtenu la note de 20/20 4 pages Voici un document pour étudier l'explication de texte. Il s'agit d'un texte classique d'Adam Smith sur l'égoïsme et le corrigé d'explication de texte. Le document comporte, le texte original puis les éléments principaux de l'introduction Le thème. La thèse. Les enjeux. Pour le corps du développement de l'explication le plan détaillé complet du corrigé de plus de 3 pages est ajouté. Ces deux éléments tous les éléments de l'introduction et de l'explication structurée du texte détaillée permette de comprendre totalement la méthodologie de l'explication de texte et de fournir une aide solide pour toute rédaction de devoir.
Propositionde corrigé – Commentaire de texte – Bergson Quelle est la finalité de l'art ? A cette question, le sens commun aurait tendance à répondre que l’œuvre d'art exprime la psychologie individuelle de son auteur, avec tout ce qu'elle contient d'individuel, d'arbitraire et de relativisme. Bergson, dans cet extrait de La pensée et le mouvant, prend prétexte de cette question
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journal article Bergson et Zénon d'Élée Revue philosophique de Louvain Vol. 67 1969, pp. 267-284 18 pages Published By Peeters Publishers Read and download Log in through your school or library Read Online Free relies on page scans, which are not currently available to screen readers. To access this article, please contact JSTOR User Support. We'll provide a PDF copy for your screen reader. With a personal account, you can read up to 100 articles each month for free. Get Started Already have an account? Log in Monthly Plan Access everything in the JPASS collection Read the full-text of every article Download up to 10 article PDFs to save and keep $ Yearly Plan Access everything in the JPASS collection Read the full-text of every article Download up to 120 article PDFs to save and keep $199/year Preview Preview Journal Information La Revue Philosophique de Louvain, fondée en 1894 par Désiré Mercier sous le titre de Revue Néoscolastique, est publiée par l’Institut Supérieur de Philosophie de l’Université Catholique de Louvain. La revue s’intéresse au mouvement philosophique international dans toute son ampleur. Organe de recherche et de discussion par ses articles; organe de documentation et de critique par ses bulletins, ses comptes rendus et ses notices bibliographiques; organe d’information par ses chroniques diverses, la Revue Philosophique de Louvain veut être un instrument de travail aussi sûr et aussi complet que possible dans le domaine de la philosophie. Publisher Information Peeters is an international publishing house based in Leuven/Louvain, Belgium and established in 1857. It has since published some 6000 titles while each year about 200 new titles and 75 journals appear, both in print and online. Peeters was set up to serve the academic world by printing and publishing books in English, French, German and Dutch. Its major publication list contains books in theology, philosophy, ethics, classical studies, archaeology, history of art, medieval studies, oriental studies, linguistics and literature. Peeters publishes original research as well as bibliographic data, reviews and reference material. It is standard practice for each publication to be supervised by an editorial board which ensures high quality standards, based on independent reports. Rights & Usage This item is part of a JSTOR Collection. For terms and use, please refer to our Terms and Conditions Revue philosophique de Louvain © 1969 Peeters Publishers Request Permissions
Pourles notes de bas de page : Times, 10 points. dition lectronique ralise avec le traitement de textes Microsoft Word 2001 pour Macintosh. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5 x 11) dition complte le 14 aot 2003 Chicoutimi, Qubec. Avec la prcieuse coopration de M. Bertrand Gibier, bnvole, professeur de philosophie, qui a rcrit en grec moderne toutes les
Résumé du document L'intuition est la méthode du bergsonisme. C'est par elle que Bergson a mené les recherches et obtenu les résultats que l'on sait, dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience d'abord, en 1889, Matière et Mémoire ensuite, en 1896, et L'évolution créatrice, en 1907. Dans la première partie de l'introduction qu'il rédigea en janvier 1923 pour La pensée et le mouvant, Bergson indique que cette méthode, l'intuition, lui a été suggérée suite à ses découvertes sur la durée, telle que celle-ci lui semblait définir dans l'Essai d'abord notre vie intérieure. Il y a une réalité au moins que nous saisissons tous du dehors, par intuition et non pas simple analyse, c'est notre propre personne dans son écoulement à travers le temps, c'est notre moi qui dure » PM, p. 183. Dans la genèse même du bergsonisme donc, l'intuition s'est trouvée d'emblée en relation intime avec la durée, et si la prise au sérieux de la seconde a précédé celle de la première, il faut dire que l'intuition est une méthode qui est née de la durée, et lui a en fait, de part en part, été coextensive. On le sait, Bergson avoue avoir longtemps hésité avant de choisir ce terme d'intuition pour désigner le renversement de perspective qu'il avait en vue. Intuition, en effet, cela semble renvoyer à une expérience vague et encore confuse, à une expérience non encore complète, en attente d'être rendue pleine voir son statut chez Kant lui-même. Sommaire Commentaire de texte de La pensée et le mouvant, Introduction » 2e partie Extraits [...] Entre ces deux lignes extrêmes, l'intuition se meut, et ce mouvement est la métaphysique même écrivait Bergson en 1903. Insistons pour terminer sur ce point décisif en convoquant à nouveau L'évolution créatrice, chapitre Bergson en appelle ici à l'expérience de la tension et de la détente personnelle. Nous pouvons, dit- il, être plus ou moins tendus ; si nous nous détendons, nous nous replongeons dans une durée où le passé toujours en marche se grossit sans cesse d'un présent absolument nouveau. [...] [...] En revanche si aucune coïncidence n'est une coïncidence pure, les intuitions relèvent toutes de la même notion ; l'intuition de soi est l'intuition référentielle en tant qu'elle n'annule pas la différence que les autres intuitions tendent à réduire. L'intuition de soi par soi, elle qui est avant tout l'intuition, est déjà différence. Pourquoi alors la conscience immédiate de soi est-elle une quasi coïncidence ? Ce que saisit l'intuition c'est le moi en tant qu'il a ou plutôt en tant qu'il est une durée. Cette durée est une continuité, qu'il faut distinguer d'une agrégation la continuité n'est pas la répétition, mais une innovation, innovation qui n'est pas un ajout, mais une croissance par le dedans dit Bergson. [...] [...] Mais pourquoi dire alors que cette métaphysique prolongera la science du vivant ? En réalité ce que dit Bergson, c'est que la métaphysique de la vie prolonge la science du vivant, au sens où celui qui examine la science du vivant est insatisfait par ce qu'elle donne de la vie ; et en ce sens prolonger la science du vivant, c'est à la fois passer par elle et la dépasser ; ensuite si de l'intuition du vital dérive la métaphysique de la vie, c'est que celle-ci est possible en ressaisissant par la conscience l'élan de vie qui est en nous. [...] [...] Or Bergson va livrer ici un élément décisif. En effet, quelle est cette réalité qui n'est unité ni multiplicité, et qui est à la fois ce que saisit la conscience et ce que ressaisit la métaphysique de la vie, ce qui relie l'intuition infra conceptuelle et la spéculation ultra conceptuelle ? Elle est ce qui est déjà métaphysique dans l'intuition, ou ce que la métaphysique récupère de l'intuition. Bergson évoque la nature singulière de la durée en même temps que le caractère essentiellement actif de l'intuition métaphysique Il faut garder la solidarité de ces deux aspect si la durée est d'une nature singulière, ce n'est pas qu'elle est le propre exclusif du moi, mais plutôt qu'elle convient au caractère actif de l'intuition métaphysique. [...] [...] En quoi alors l'inadéquation de la science du vivant sollicite-t-elle la ressaisie par la conscience de l'élan de vie ? Au chap de l'EC Bergson déclare qu'il incombe à la philosophie de rompre avec les habitudes scientifiques, de remonter la pente de l'intelligence pour être sensible à ce à quoi la science est insensible c'est-à -dire au caractère irréductible de la durée, à l'innovation attachée à la durée, à l'imprévisibilité et à l'originalité de ce qu'apporte la durée. C'est à la philosophie dit Bergson qu'il appartient de récupérer ce à quoi l'intelligence donc la science n'accorde par d'attention c'est-à -dire la contingence de l'innovation. [...]
ulbRSE. 107 140 176 71 7 52 135 192 265
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