Plaineabyssale : définition, explications Une plaine abyssale est une zone aplanie de grande profondeur, prÚs des abysses au delà de 2500 m généralement et jusque 6000 m, et se situe entre les masses continentales et les dorsales océaniques en bordure du précontinent, en zone abyssale.. Quand il s'agit d'une plaine abyssale, abyssal correspond
ASTROMÉTRIE Dans le chapitre "La radio-interfĂ©romĂ©trie Ă  longue base" 
 Le principe de l'interfĂ©romĂ©trie est le mĂȘme pour toutes les ondes Ă©lectromagnĂ©tiques. Cependant, comme le pouvoir de rĂ©solution d'un interfĂ©romĂštre est de l'ordre de λ / D , oĂč λ est la longueur d'onde, pour avoir une prĂ©cision importante Ă  des longueurs d'onde centimĂ©triques, les instruments doivent ĂȘtre tellement Ă©loignĂ©s l'un de l'autre que l'on ne peut plus ramener les ondes au mĂȘme dĂ©tecte [
] Lire la suiteGÉODÉSIEÉcrit par Anny CAZENAVE, Pascal WILLIS ‱ 7 312 mots ‱ 3 mĂ©dias Dans le chapitre "Rotation de la Terre et mouvement du pĂŽle" 
 Toute mesure de rotation de la Terre fait appel Ă  un repĂšre de rĂ©fĂ©rence terrestre et Ă  un repĂšre de rĂ©fĂ©rence cĂ©leste. Le premier permet de dĂ©finir la position de l'axe de rotation de la Terre par rapport Ă  la croĂ»te terrestre, tandis que le second permet de dĂ©finir la position de l'axe de rotation de la Terre dans l'espace, ainsi que l'orientation de la Terre autour de cet axe. Quant au systĂšme [
] Lire la suitePRÉCESSION ET NUTATIONÉcrit par Jean KOVALEVSKY ‱ 1 747 mots ‱ 4 mĂ©dias Dans le chapitre "DĂ©termination de la prĂ©cession et de la nutation" 
 Ainsi, la nutation et la prĂ©cession sont deux aspects d'un mĂȘme phĂ©nomĂšne dont la sĂ©paration, fondĂ©e sur l'importance des pĂ©riodes, est tout compte fait assez arbitraire. Dans le passĂ©, elles Ă©taient dĂ©terminĂ©es Ă  partir des observations de la position des Ă©toiles. En analysant les variations des coordonnĂ©es observĂ©es des Ă©toiles en fonction du temps, on dĂ©terminait les pĂ©riodes, les phases et le [
] Lire la suitePREMIÈRE IMAGE TÉLESCOPIQUE D'UN TROU NOIRÉcrit par Jean-Pierre LUMINET ‱ 1 038 mots ‱ 1 mĂ©dia Dans le chapitre "Une prouesse technologique" 
 Utilisant les techniques bien Ă©prouvĂ©es de l’interfĂ©romĂ©trie Ă  trĂšs longue base Very Long Baseline Interferometry ou VLBI, l’EHT combine la puissance de rĂ©solution de divers radiotĂ©lescopes dispersĂ©s Ă  travers le monde afin d’obtenir un tĂ©lescope virtuel gĂ©ant du diamĂštre de la Terre plus le tĂ©lescope est grand, plus il observe des dĂ©tails. Cela lui permet d’atteindre une rĂ©solution angulaire [
] Lire la suiteRADIOASTRONOMIEÉcrit par AndrĂ© BOISCHOT, James LEQUEUX ‱ 9 747 mots ‱ 5 mĂ©dias Dans le chapitre "InterfĂ©romĂštres Ă  trĂšs grandes bases" 
 Dans les interfĂ©romĂštres prĂ©cĂ©dents, les antennes sont reliĂ©es par des cĂąbles de transmission qui amĂšnent les deux signaux au rĂ©cepteur, ce qui fait que la distance entre les antennes est limitĂ©e par la perte de ces cĂąbles. On peut aussi assurer la liaison par un faisceau hertzien on obtient alors des bases » de quelques centaines de kilomĂštres, comme dans l'interfĂ©romĂ©tre MERLIN Multi-Eleme [
] Lire la suiteTECTONOPHYSIQUEÉcrit par Jean AUBOUIN ‱ 3 685 mots ‱ 4 mĂ©dias Dans le chapitre "Tectonophysique et gĂ©odĂ©sie spatiale" 
 Les premiers pas de la gĂ©odĂ©sie spatiale furent, du point de vue de la tectonophysique, prometteurs. En premier lieu, le satellite Seasat, qui fonctionna durant seulement trois mois, en 1978, permit de connaĂźtre de maniĂšre dĂ©taillĂ©e la topographie des fonds ocĂ©aniques daprĂšs laltimĂ©trie de la surface des ocĂ©ans, connue au dĂ©cimĂštre prĂšs les fosses ocĂ©aniques, qui correspondent Ă  un dĂ©ficit de [
] Lire la suiteTERRE La planĂšte TerreÉcrit par Jean AUBOUIN, Jean KOVALEVSKY, Evry SCHATZMAN ‱ 12 045 mots ‱ 11 mĂ©dias Dans le chapitre "Mesure de la rotation de la Terre" 
 Mesurer la rotation de la Terre revient Ă  dĂ©terminer, en fonction du temps, les variations de l'orientation d'un repĂšre de rĂ©fĂ©rence liĂ© Ă  la Terre et dĂ©fini par la position d'un certain nombre de stations d'observation par rapport Ă  un systĂšme de rĂ©fĂ©rence cĂ©leste fixe. La mĂ©thode la plus prĂ©cise est la radio-interfĂ©romĂ©trie Ă  longue base qui permet de relier la base de l'interfĂ©romĂš [
] Lire la suitePrĂ©ciser avec l'index1 articleÀ L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVÉ LA VIE, HervĂ© Guibert12 articlesA PRIORI CONNAISSANCE5 articlesA CAPPELLA, musique8 articlesVITAMINE A4 articlesSAGITTARIUS A*2 articlesHÉPATITE A1 articleCONCANAVALINE A1 articleMOTEURS PAS À PAS1 articleBISPHÉNOL A3 articlesÀ REBOURS, Joris-Karl Huysmans23 articlesPRÊT-À-PORTER2 articlesPOINTE-À-PITRE1 articleHERBE-À-ROBERT1 articleBOUCHE-À-BOUCHE2 articlesCARTE À PUCE ou CARTE À MÉMOIRE1 articleCHAMBRE À STREAMERS ou CHAMBRE À DARDS3 articlesCOENZYME A CoA1 articleLINÉAIRE A, Ă©criture1 articleDOMINIQUE A 1968- 1 articleA TRIBE CALLED QUEST1 articlePORTE-À-FAUX, architecture44 articlesMALADIES À VECTEURS36 articlesQUATUOR À CORDES28 articlesMACHINE À VAPEUR24 articlesCANNE À SUCRE22 articlesÉTOILES À NEUTRONS13 articlesCHASSE À LA BALEINE12 articlesMOULIN À EAU12 articlesMOTEURS À EXPLOSION12 articlesRÉSISTANCE À LA CORROSION12 articlesMÉTIER À TISSER2 articlesUN LIEU À SOI, Virginia Woolf11 articlesMARCHÉS À TERME9 articlesARMES À FEU9 articlesMARCHÉ À OPTIONS9 articlesCHAMBRES À GAZ8 articlesAVIONS À RÉACTION ou JETS8 articlesPROPULSION À RÉACTION8 articlesTURBINES À VAPEUR8 articlesVER À SOIE8 articlesMACHINE À FILER8 articlesDINOSAURES À PLUMES7 articlesCHAMBRE À BULLES7 articlesSCÈNE À L'ITALIENNE7 articlesTANGENTE À UNE COURBE6 articlesPÂTE À PAPIER6 articlesCARTES À JOUER6 articlesPILE À COMBUSTIBLE6 articlesTURBINES À GAZ6 articlesLASERS À SEMICONDUCTEURS6 articlesTUBE À VIDE5 articlesBOMBE À NEUTRONS5 articlesPIÈGE À IONS5 articlesMACHINE À ÉCRIRE5 articlesMOULIN À VENT5 articlesMACHINE À COUDRE5 articlesLAMPE À INCANDESCENCE5 articlesBATEAU À VAPEUR4 articlesNOMBRE DE MASSE A4 articlesFLÛTE À BEC4 articlesCORNET À PISTONS4 articlesGARDE À VUE4 articlesBALEINE À FANONS4 articlesSAUT À SKIS3 articlesPOMPE À CHALEUR3 articlesCHAMBRE À BROUILLARD3 articlesFOUGÈRES À GRAINES3 articlesLASERS À NÉODYME3 articlesSERPENT À PLUMES3 articlesCANON À ÉLECTRONS3 articlesVIELLE À ROUE3 articlesPUCES À PROTÉINES3 articlesRÉSISTANCE À L'AVANCEMENT3 articlesENSEIGNEMENT À DISTANCE3 articlesTRAVAIL À LA CHAÎNE3 articlesBALEINE À BOSSE3 articlesCHONDRITES À ENSTATITE2 articlesCHAMBRE À FILS2 articlesRIQUET À LA HOUPPE2 articlesGENÊT À BALAIS2 articlesLASERS À SOLIDES2 articlesLIGNES À RETARD2 articlesMICROMÈTRE À FILS2 articlesLAMPE À DÉCHARGE2 articlesMASER À HYDROGÈNE2 articlesGAZ À L'EAU2 articlesLASERS À RUBIS2 articlesPIED À COULISSE2 articlesTIR À L'ARC2 articlesTAMBOUR À FENTE2 articlesCHANSON À BOIRE2 articlesCORNET À BOUQUIN2 articlesLA MAIN À LA PÂTE2 articlesMACHINES À SOUS2 articlesSUCCINYL-COENZYME A2 articlesRETENUE À LA SOURCE2 articlesENDOCYTOSE À RÉCEPTEURS1 articleCANON À GAZ1 articleCHAMBRE À DÉRIVE1 articleCAMÉRA À SCINTILLATIONS1 articlePASSAGE À L'ACTE1 articleDIALYSE À L'ÉQUILIBRE1 articleOURS À COLLIER1 articleTOUR À RÉDUIRE1 articleOURS À LUNETTES1 articleLASERS À EXCIMÈRES1 articleCOMPTEUR À ÉTINCELLES1 articleCHAMBRE À PLASMA1 articleCHAMBRE À ÉTINCELLES1 articleMÉMOIRES À SEMICONDUCTEURS1 articleENCÉPHALITE À TIQUES1 articlePILE À HYDROGÈNE1 articleRÉFRIGÉRATEUR À DILUTION1 articleFREIN À TAMBOUR1 articleFREIN À DISQUE1 articleRUGBY À XIII1 articleTÉLÉVISION À PÉAGE1 articleNEURONES À HYPOCRÉTINES1 articleHARPE À CADRE1 articleTAMBOUR À FRICTION1 articleBOÎTE À MUSIQUE1 articleCLOCHE À VENT1 articleMACHINE À TISSER1 articlePOMPE À MERCURE1 articleVARIÉTÉ À BORD1 articleBÂTON À FEU1 articleMIROIR À ATOMES1 articleBARRAGES À CONTREFORTS1 articleCALCAIRE À ENTROQUES1 articleLEUCÉMIE À TRICHOLEUCOCYTES1 articleLASERS À GAZ1 articleLASERS À COLORANTS1 articleCANON À NEIGE15 articlesSAUT À LA PERCHE, athlĂ©tisme15 articlesUNION À DIEU, thĂ©ologie10 articlesCOMPOSITES À FIBRES MATÉRIAUX10 articlesÉTHIQUE À NICOMAQUE, Aristote2 articlesASTÉRIX ou A-1, satellite2 articlesIPHIGÉNIE À AULIS, Euripide1 articleCYCLE À CASCADE, cryogĂ©nie1 articleLETTRES À LUCILIUS, SĂ©nĂšque1 articleSÉLECTIVITÉ À L'ORIENTATION, neurophysiologie1 articleAIDE À LA DÉCISION, informatique1 articleJET A-1, carburant5 articlesÀ LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU, Marcel Proust44 articlesGAZ À EFFET DE SERRE16 articlesTRAINS À GRANDE VITESSE12 articlesMÉMOIRE À LONG TERME9 articlesRÉACTEUR ou MOTEUR À RÉACTION9 articlesMICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION9 articlesCONTRAT À TERME ou FUTURE8 articlesPUCE À ADN ou BIOPUCE7 articlesMARCHÉS DE DROITS À POLLUER6 articlesTRAVAIL À TEMPS PARTIEL6 articlesMÉMOIRE À COURT TERME5 articlesMICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À BALAYAGE5 articlesMICROSCOPIE À EFFET TUNNEL4 articlesMICROSCOPIE À CONTRASTE INTERFÉRENTIEL4 articlesRÉACTEUR À EAU LOURDE4 articlesRÉACTEUR À GRAPHITE-GAZ4 articlesMARCHÉ À TERME DE MARCHANDISES4 articlesACADÉMIE DE FRANCE À ROME3 articlesATTEINTES À LA VIE PRIVÉE3 articlesMOTEURS À DEUX TEMPS3 articlesINDICE DES PRIX À LA CONSOMMATION3 articlesPRÊT À LA GROSSE AVENTURE2 articlesRÉDUCTION À L'ÉTAT LAÏC2 articlesMOTEURS À QUATRE TEMPS2 articlesMICROSCOPIE À CONTRASTE DE PHASE2 articlesTUBE À ONDES PROGRESSIVES2 articlesLAME À FACES PARALLÈLES2 articlesCELLULE À ENCLUMES DE DIAMANT2 articlesDÉCOUPLAGE DES AIDES À L'AGRICULTURE2 articlesTUBE À CHAMPS CROISÉS2 articlesMICROSCOPIE À RAYONS X2 articlesLASERS À ÉLECTRONS LIBRES2 articlesDINOSAURES À QUATRE AILES2 articlesACCÈS AU DROIT ET À LA JUSTICE2 articlesTRADING À HAUTE FRÉQUENCE1 articleALLIAGES À MÉMOIRE DE FORME1 articleLASERS À DIOXYDE DE CARBONE1 articleMICROSCOPIE À FORCE ATOMIQUE1 articleMICROSCOPIE À FORCE MAGNÉTIQUE1 articleMAÎTRE DE BADIA À ISOLA1 articleSURSIS AVEC MISE À L'ÉPREUVE1 articleSKATEBOARD ou PLANCHE À ROULETTES1 articleCHAWAN ou BOL À THÉ1 articleLASERS À HÉLIUM-NÉON1 articleCHROMATOGRAPHIE À CONTRE-COURANT1 articleFULIGULE À TÊTE ROUGE1 articleFULIGULE À BEC CERCLÉ1 articleFULIGULE À DOS BLANC1 articlePOMPE À PALETTES MOBILES1 articlePOMPE À DIFFUSION D'HUILE1 articleLEUCÉMIE AIGUË À PROMYÉLOCYTES1 articleMÉMOIRES À TORES DE FERRITE1 articleTÉLÉVISION À HAUTE DÉFINITION1 articleMÉMOIRES À BULLES MAGNÉTIQUES1 articleNAVIRES À GRANDE VITESSE1 articleFOOTBALL À CINQ ou CÉCIFOOT1 articleRECONNAISSANCE DES MOTS À L'ORAL5 articlesLA MORT À VENISE, Thomas Mann2 articlesL'HOMME À LA CAMÉRA, Dziga Vertov1 articleNOYAUX À HALO, physique nuclĂ©aire1 articleNOTRE AGENT À LA HAVANE, Graham Greene1 articleVOYAGE À TÌKYÌ, Yasujiro Ozu1 articleCARTE À JOUER MUSÉE FRANÇAIS DE LA1 articleHALTE À LA CROISSANCE ?, Club de Rome1 articlePOUVANAA A OOPA 1895-19773 articlesMORT À CRÉDIT, Louis-Ferdinand CĂ©line5 articlesHABITATIONS À LOYER MODÉRÉ HLM5 articlesRÉACTEUR À NEUTRONS RAPIDES articlesPOTENTIALISATION À LONG TERME PLT2 articlesDÉPRESSION À LONG TERME DLT1 articleMICROANALYSEUR À SONDE ÉLECTRONIQUE articleSYSTÈMES À ÉVÉNEMENTS DISCRETS, automatique13 articlesACÉTYL-COENZYME A ou ACÉTYL-CoA7 articlesDROIT DES PEUPLES À DISPOSER D'EUX-MÊMES6 articlesMARCHÉ DE GRÉ À GRÉ ou articlesAÉROGLISSEURS ou VÉHICULES À COUSSIN D'AIR4 articlesRADAR À SYNTHÈSE D'OUVERTURE ou articlesMICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À BALAYAGE EN TRANSMISSION2 articlesAMPLIFICATION D'IMPULSION À DÉRIVE DE FRÉQUENCE1 articleMICROSCOPIE IONIQUE À EFFET DE CHAMP1 articleSPECTROPHOTOMÈTRE INFRAROUGE À TRANSFORMÉE DE FOURIER1 articleRÉACTEURS NUCLÉAIRES À SELS FONDUS1 articleENFANTS À HAUT POTENTIEL INTELLECTUEL2 articlesMAÎTRES À L'ƒILLET fin XVe-dĂ©b. XVIe s.2 articlesLE DERNIER TANGO À PARIS, Bernardo Bertolucci2 articlesCUBIQUE À FACES CENTRÉES RÉSEAU1 articleMON CƒUR MIS À NU, Charles Baudelaire1 articleSCENES FROM A MARRIAGE, sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e4 articlesDÉGÉNÉRESCENCE MACULAIRE LIÉE À L'ÂGE articleBONS À MOYEN TERME NÉGOCIABLES articleEULER-POINSOT MOUVEMENT ou MOUVEMENT À LA POINSOT5 articlesITINÉRAIRE DE PARIS À JÉRUSALEM, François RenĂ© de Chateaubriand3 articlesPROLÉGOMÈNES À UNE THÉORIE DU LANGAGE, Louis Trolle Hjelmslev1 articleLA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS, Herbert-George Wells1 articlePOÈTE À NEW YORK, Federico GarcĂ­a Lorca1 articleINTRODUCTION À L'ƒUVRE SUR LE KAVI, Wilhelm von Humboldt1 articleLETTRE À D'ALEMBERT SUR LES SPECTACLES, Jean-Jacques Rousseau62 articlesVENT INSTRUMENTS À10 articlesHUILE PEINTURE À L'3 articlesTHOMAS A KEMPIS THOMAS HEMERKEN dit 1379 articlesCALCULER MACHINES À4 articlesENCAUSTIQUE PEINTURE À L'4 articlesCROÛTES SOLS À3 articlesTIMOTHÉE ÉPÎTRES À3 articlesVITRE VERRE À2 articlesCHENILLES MATÉRIEL À2 articlesINERTIE CENTRALE À2 articlesPHILÉMON ÉPÎTRE À2 articlesTITE ÉPÎTRE À2 articlesINFINI RÉGRESSION À L'2 articlesAVALANCHE DIODE À1 articleSOBOLEVA P. articleÉCHO BOÎTE À1 articleMERCURE ÉLECTRODE À1 articleARC PROCÉDÉ À L'1 articleIMMERSION OBJECTIF À1 articleHYDROGÈNE CHALUMEAU À1 articlePSEUDOGLEY SOLS À1 articlePOINSOT MOUVEMENT À LA7 articlesRADIO-INTERFÉROMÉTRIE À LONGUE BASE ou articlesMUTATIONS DYNAMIQUES ou MALADIES À EXPANSION DE TRIPLETS1 articleAUTOMOBILE ou VOITURE À QUATRE ROUES MOTRICES1 articleCHROMATOGRAPHIE DE PARTAGE À POLARITÉ DE PHASES INVERSÉE1 articleCOMMISSION À L'ÉNERGIE ATOMIQUE DES NATIONS UNIES1 articleAUTOMOBILE ou VOITURE À QUATRE ROUES DIRECTRICES6 DĂ©lĂ©gation Ă  l'amĂ©nagement du territoire et Ă  l'action rĂ©gionale214 articlesPHILOSOPHIE, de 1950 Ă  nos jours210 articlesROME, des origines Ă  la RĂ©publique1 Synthetic Aperture Radar RADAR À SYNTHÈSE D'OUVERTURE132 articlesPHILOSOPHIE, de 1900 Ă  19506 articlesAKERLOF GEORGE A. 1940- 4 articlesVARENNES FUITE À 17912 articlesURANIUM APPAUVRI ARMES À2 articlesCORNELL ERIC A. 1961- 2 articlesDOUDNA JENNIFER A. 1964- 1 articleCONTRE-COURANT SYSTÈME À1 articleZADEH LOTFI A. 1921- 1 articleCREUX PERDU MOULE À1 articleBON CREUX MOULE À1 articleREPLATS-GOLETZ VERSANT À1 articleFACES CENTRÉES RÉSEAUX À1 articleDOUBLE FOYER VERRES À1 articleSHELDON ROGER A. 1942- 1 articleCIEL OUVERT MINES À1 articleTIBERGHIEN GILLES A. 1953- 1 articleLYNN JOHN A. 1943- 4 articlesSCÉNOGRAPHIE, de Palladio Ă  Appia3 articlesPPNA Prepottery Neolithic A1 articleAPL A Programming Language1 articleSaaS Software as a Service1 articleDaaS Data as a Service1 articlePaaS Platform as a Service1 articleIaaS Infrastructure as a Service2 articlesABRAHAM A SANCTA CLARA JOHANN ULRICH MEGERLE dit 1644-170919 articlesMYSTÈRES RELIGIONS DITES À2 articlesWARTBURG GUERRE DES CHANTEURS À LA2 articlesGARGAMELLE CHAMBRE À BULLES2 articlesOSEBERG TOMBE À NAVIRE D'1 articleMERCURE CELLULES À CATHODE DE1 articleLEWY DÉMENCE À CORPS DE3 articlesL'ƒUVRE D'ART À L'ÉPOQUE DE SA REPRODUCTION MÉCANISÉE, Walter Benjamin11 articlesRÉACTEUR À EAU PRESSURISÉE ou pressurised water reactor2 articlesRÉACTEUR À EAU BOUILLANTE ou boiling water reactor1 articleEUROPEAN XFEL laser europĂ©en Ă  Ă©lectrons libres et Ă  rayons X1 articleMICROSCOPIE À DÉPLÉTION PAR ÉMISSION STIMULÉE ou STED stimulated emission depletion1 articleTRAITÉ DE L'HARMONIE RÉDUITE À SES PRINCIPES NATURELS, Jean-Philippe Rameau248 articlesFRANCE, histoire, de 1974 Ă  nos jours244 articlesFRANCE, histoire, de 1789 Ă  1815244 articlesFRANCE, histoire, de 1939 Ă  1958204 articlesALLEMAGNE, histoire, de 1806 Ă  194510 articlesAFRIQUE-ÉQUATORIALE FRANÇAISE articleLIBRES ENFANTS DE SUMMERHILL, A. S. Neill170 articlesFRANCE, histoire, de 1871 Ă  19397 articlesMUNDELL ROBERT A. 1932-20214 articlesEFFET DE CHAMP TRANSISTOR À articlesEULER MÉTHODE DU PAS À PAS D', analyse numĂ©rique3 articlesWAKSMAN SELMAN A. 1888-19733 articlesDIAGNE BLAISE A. 1872-19342 articlesHĀLÄȘ A. H. 1837-19142 articlesNAISMITH JAMES A. 1861-19391 articlePENCK A. R. 1939-20171 articleWEIKARD MELCHIOR A. 1742-1803144 articlesFRANCE, histoire, de 1958 Ă  1974141 articlesRUSSIE, histoire, de 1801 Ă  1917137 articlesRUSSIE, histoire, des origines Ă  1801110 articlesCHINE, histoire, de 1949 Ă  nos jours110 articlesFRANCE, histoire, de 1815 Ă  1871104 articlesITALIE, histoire, de 476 Ă  14942 articlesADMINISTRATIVE BEHAVIOR, Herbert A. Simon2 articlesSOCIODYNAMIQUE DE LA CULTURE, Abraham A. Moles1 articleJETABLE ou PĂ P prĂȘt Ă  photographier174 articlesFRANCE, histoire, du XVIe s. Ă  171591 articlesFRANCE, histoire, de 1715 Ă  178973 articlesITALIE, histoire, de 1870 Ă  194557 articlesINDE, histoire de 1947 Ă  nos jours51 articlesESPAGNE, histoire, de 1900 Ă  nos jours50 articlesITALIE, histoire, de 1945 Ă  nos jours48 articlesGRÈCE, histoire, de 1830 Ă  nos jours47 articlesITALIE, histoire, de 1494 Ă  178944 articlesPERSE, histoire de 651 Ă  150141 articlesÉGYPTE, histoire, de 1952 Ă  nos jours40 articlesJAPON, histoire, des origines Ă  119239 articlesITALIE, histoire, de 1789 Ă  187038 articlesÉGYPTE, histoire de 1805 Ă  195237 articlesPOLOGNE, histoire, de 1914 Ă  194537 articlesPOLOGNE, histoire, de 1945 Ă  nos jours36 articlesBELGIQUE, histoire, de 1945 Ă  nos jours36 articlesPERSE, histoire de 1501 Ă  192535 articlesJAPON, histoire, de 1946 Ă  nos jours34 articlesPOLOGNE, histoire, de 1500 Ă  176334 articlesSYRIE, histoire, de 1941 Ă  nos jours33 articlesBELGIQUE, histoire, de 1830 Ă  194533 articlesMEXIQUE, histoire, de 1910 Ă  nos jours33 articlesPOLOGNE, histoire, de 1764 Ă  19146 taxe Ă  la valeur ajoutĂ©e17 articlesASSISTANCE MÉDICALE À LA PROCRÉATION AMP ou PROCRÉATION MÉDICALEMENT ASSISTÉE PMA4 ligne Ă  grande vitesse29 articlesÉGYPTE, histoire de 639 Ă  180529 articlesHONGRIE, histoire, de 1945 Ă  nos jours3 sociĂ©tĂ© Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e3 articlesSECAM sĂ©quentiel couleur Ă  mĂ©moire28 articlesBRÉSIL, histoire, de 1950 Ă  nos jours2 zone Ă  urbaniser en prioritĂ©26 articlesMEXIQUE, histoire, de la conquĂȘte Ă  la rĂ©volution24 articlesBELGIQUE, histoire, des origines Ă  183024 articlesIRAN, histoire de 1925 Ă  197924 articlesJAPON, histoire, de 1192 Ă  160323 articlesITALIE, histoire, des origines Ă  47622 articlesMAROC, histoire, de 1956 Ă  nos jours3 articlesAVIONS À DÉCOLLAGE & ATTERRISSAGE VERTICAUX ou vertical take off and landing2 articlesÉLECTRONS BIDIMENSIONNELS TRANSISTORS À GAZ D'18 articlesCANADA, histoire, de 1968 Ă  nos jours2 articlesLE MERVEILLEUX VOYAGE DE NILS HOLGERSSON À TRAVERS LA SUÈDE, Selma Lagerlöf2 articlesART ET HUMANISME À FLORENCE AU TEMPS DE LAURENT LE MAGNIFIQUE, AndrĂ© Chastel13 articlesGRÈCE, histoire, jusqu'Ă  l'indĂ©pendance 183012 articlesAUTRICHE, histoire, de 1945 Ă  nos jours15 articlesVILLA, architecture du XVIIIe s. Ă  nos jours3 articlesMATIF MarchĂ© Ă  terme d'instruments financiers, puis MarchĂ© Ă  terme international de France206 articlesPEINTURE DU XXe SIÈCLE, de 1900 Ă  19393 articlesHISTOIRE MONDIALE DE LA SPÉCULATION FINANCIÈRE, DE 1700 À NOS JOURS, Charles P. Kindleberger1 articleLETTRES À MIRANDA SUR LE DÉPLACEMENT DES MONUMENTS DE L'ART DE L'ITALIE, Antoine QuatremĂšre de Quincy171 articlesÉGLISE HISTOIRE DE L', du concile de Trente Ă  nos jours3 articlesLA NUIT DES MORTS-VIVANTS, George A. Romero101 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1945 Ă  nos jours95 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1914 Ă  194595 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1801 Ă  191494 articlesAFRIQUE NOIRE, histoire, des indĂ©pendances Ă  nos jours93 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1914 Ă  194591 articlesROYAUME-UNI, histoire, de 1801 Ă  191489 articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, de 1945 Ă  nos jours57 articlesPAROLE POUVOIRS DE LA, de l'AntiquitĂ© Ă  l'Ăąge classique48 articlesPAYS-BAS, histoire, de 1579 Ă  18302 articlesLOMBARD STREET A DESCRIPTION OF THE MONEY MARKET, Walter Bagehot32 articlesPAYS-BAS, histoire, des origines Ă  15792 articlesBORGOÑA JUAN DE actif de 1494 Ă  15362 articlesJEAN DE ROUEN actif de 1510 Ă  15721 articleAFONSO JORGE actif de 1508 Ă  15401 articleFROMENT NICOLAS connu de 1461 Ă  14861 articleMEMMI LIPPO connu de 1317 Ă  13471 articleWYDITZ HANS actif de 1497 Ă  15161 articleYSELIN HEINRICH actif de 1478 Ă  15131 articleBENNET JOHN actif de 1599 Ă  16141 articleJONES ROBERT actif de 1597 Ă  16151 articleARRUDA DIOGO actif de 1508 Ă  153127 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1945 Ă  nos jours24 articlesPAYS-BAS, histoire, de 1830 Ă  nos jours23 articlesPAYS-BAS PEINTURE DES, du XVIIIe s. Ă  nos jours20 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1880 Ă  19451 articleRUNCIE ROBERT A. K. 1921-20001 articleLOUIS PIERRE CHARLES A. 1787-1872103 articlesALLEMAGNE, histoire, du Moyen Âge Ă  1806103 articlesFRANÇAISE PEINTURE, XXe s. de 1900 Ă  193917 articlesAFRIQUE DU NORD, histoire, de 1440 Ă  188088 articlesJAPON, histoire, de l'Ăšre Meiji Ă  19463 rĂ©seau numĂ©rique Ă  intĂ©gration de services1 articleSICAV SociĂ©tĂ© d'investissement Ă  capital variable1 autorisations d'usage Ă  des fins thĂ©rapeutiques1 articlePRADO Programme d'accompagnement du retour Ă  domicile1 articleANTARES, tĂ©lescope sous-marin Ă  neutrinos285 articlesPEINTURE DU XXe ET DU DÉBUT DU XXIeSIÈCLE, de 1939 Ă  nos jours271 articlesÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, de 1945 Ă  nos jours4 articlesSVEN ou SVEND À LA BARBE FOURCHUE 960 roi de Danemark 986-1014 et d'Angleterre 1013-1014137 articlesÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, de 1865 Ă  19452 articlesLA NOUVELLE JUSTINE, OU LES MALHEURS DE LA VERTU, D. A. F. de Sade107 articlesÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE, histoire, des origines Ă  18654 articlesARNAUD ou ARNAUT DANIEL actif de 1180 Ă  12001 articleELY REGINALD ou REYNOLD actif de 1438 Ă  14712 articlesCHANTEREINE NICOLAS activitĂ© connue de 1517 Ă  15371 articleKHĀZINÄȘ AL- actif de 1115 Ă  1121 env.9 articlesCEA Commissariat Ă  l'Ă©nergie atomique et aux Ă©nergies alternatives71 articlesCHINE, histoire l'Empire, des Yuan Ă  la RĂ©volution de 191167 articlesCHINE, histoire de la RĂ©volution de 1911 Ă  la RĂ©publique populaire39 articlesINDE, histoire du XIIIe s. Ă  la conquĂȘte britannique 175777 articlesALLEMAGNE RÉPUBLIQUE FÉDÉRALE D' RFA, histoire, de 1945 Ă  19893 articlesPATENIER ou PATINIR JOACHIM 1475 Ă  1480 SystĂšme d'imagerie gamma Ă  masque alĂ©atoire, tĂ©lescope1 articleMARSYAS PEINTRE DE milieu Ă  3e quart IVe s. av. articlesGRANDE-BRETAGNE, histoire, le Moyen Âge de 1066 Ă  1485149 articlesFRANÇAISE PEINTURE, XXe et dĂ©but du XXIe s. de 1939 Ă  nos jours2 articlesCEPMMT Centre europĂ©en de prĂ©vision mĂ©tĂ©orologique Ă  moyen terme27 articlesCHINE, histoire des origines Ă  la fondation de l'Empire 221 av. articlesHENNEQUIN, JEAN DE BRUGES ou JEAN DE BONDOL actif de 1368 Ă  13811 articleMICROSCOPE MICRO-Satellite Ă  traĂźnĂ©e CompensĂ©e pour l'Observation du Principe d'Équivalence1 articleCREDIT RATIONING IN MARKETS WITH IMPERFECT INFORMATION, J. Stiglitz et A. Weiss3 articlesTHE MARKET FOR LEMONS QUALITY UNCERTAINTY AND THE MARKET MECHANISM, George A. Akerlof4 articlesIgA5 UniĂŁo nacional para a independĂȘncia total de Angola ou Union nationale pour l'indĂ©pendance totale de l'Angola
1Lactualisation du contexte stratĂ©gique prĂ©sentĂ©e par Florence Parly, ministre des ArmĂ©es le 21 janvier 2021 fait le constat que « les fonds marins deviennent de plus en plus un terrain de rapports de force » .MĂ©connu , difficile d’accĂšs , le fond des ocĂ©ans abrite de nombreuses infrastructures vitales comme les cĂąbles sous-marins et des rĂ©seaux de
Forum Futura-Sciences les forums de la science TERRE GĂ©ologie et Catastrophes naturelles Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique  RĂ©pondre Ă  la discussion Affichage des rĂ©sultats 1 Ă  17 sur 17 06/03/2019, 11h57 1 Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique - Bonjour J'essaie dĂ©sespĂ©rĂ©ment de comprendre. La Terre se refroidit peu Ă  peu dans l'espace, sa tempĂ©rature Ă  coeur Ă©tant de 2000 Ă  3000° K. Un flux de chaleur traverse donc inĂ©vitablement ses ocĂ©ans 75% de la surface depuis le fond jusqu'Ă  la surface. Comment se fait-il alors que les tempĂ©ratures mesurĂ©es au fond sont plus basses qu'en surface? Merci pour vos rĂ©ponses. - 06/03/2019, 12h11 2 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Salut, EnvoyĂ© par harmoniciste sa tempĂ©rature Ă  coeur Ă©tant de 2000 Ă  3000° K. Meme mieux, 6000K, mais bon, on peut se limiter a la base de la lithosphere qui est de l'ordre de 2000K en effet. Le flux moyen pour la lithosphere oceanique est de 100mW/m2 tres fortement concentre aux niveaux des rides medio-oceaniques et point chauds, beaucoup plus bas dans les plaines abyssales. Credit Vieira & Hamza, 2010 Le flux moyen pour la lithosphere antarctique va de 50 a 115 mW/m2 et n'est manifestement pas suffisant pour passer au dela de l'enthalpie de fusion de la glace de la calotte glaciaire on peut dire la meme chose pour tout les pergelisols. Credit Van Liefferinge and Pattyn, 2013 Compte tenu que l'eau des fonds oceaniques vient des regions polaires, elles sont plus froides, et le reste malgre l'apport de chaleur provenant de la croute. Les seuls endroits ou l'eau de mer se rechauffe sont les zones hydrothermales ou le transfert de chaleur peut se faire de maniere plus efficace que par conduction a l'interface sol-ocean. Si la colonne d'eau etait parfaitement statique pour sans doute au moins un million d'annees, alors il est possible qu'un gradient commence a s'installer; mais en realite, les echelles de temps concernant l'hydrosphere ne sont pas du meme ordre de grandeur que pour la lithosphere. T-K DerniĂšre modification par Tawahi-Kiwi ; 06/03/2019 Ă  12h15. If you open your mind too much, your brain will fall out 06/03/2019, 12h13 3 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique peu ĂȘtre parce-que la chaleur ne passe pas majoritairement par le fond ocĂ©anique ? volvan, geyser .... peu ĂȘtre parce-que la perte de chaleur EAU/AIR est plus rapide que fond/EAU donc tu as une aspiration de la chaleur vers le haut d’oĂč le gradiant de tempĂ©rature ajoute a cela le rĂŽle du soleil dans les eaux de surface juste des idĂ©es 06/03/2019, 13h27 4 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Compte tenu que l'eau des fonds oceaniques vient des regions polaires, elles sont plus froides, et le reste malgre l'apport de chaleur provenant de la croute. En effet et l'eau froide salĂ© Ă©tant plus dense que l'eau chaude, elle tombe au fond de l'ocĂ©an, d'oĂč la prĂ©sence du courant froid d'eau profonde circulation thermohaline qui fait le tour de la Terre par tous les ocĂ©ans, avant de remonter par "upwelling" par certains endroits La mĂ©tĂ©orologie, c'est l'art de prĂ©voir ce qui change tout le temps. Aujourd'hui A voir en vidĂ©o sur Futura 06/03/2019, 13h39 5 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Merci pour ta rĂ©ponse T-K. Est-ce que je te rĂ©sume bien en disant que tout le flux de chaleur remontant jusqu'aux fonds ocĂ©aniques est transportĂ© par des courants profonds 2 Ă  4°C jusqu'aux cotes glacĂ©es des pĂŽles qu'ils font fondre. Puis l'eau de fusion glacĂ©e 0 Ă  2°Cretourne se faire rĂ©chauffer sur les fonds ocĂ©aniques ? Peut-on alors en conclure que la majoritĂ© le flux de chaleur remontant du manteau a pour effet principal de fondre les banquises? En attendant le moment lointain, quand toutes les glaces cotiĂšres auront fondues, oĂč la tempĂ©rature du fond pourra enfin s'Ă©chauffer et s'uniformiser par convection, jusqu'Ă  la tempĂ©rature moyenne de surface ? 06/03/2019, 16h55 6 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Je doute qu'il ait dit ça Dix secondes pour Ă©crire une bĂȘtise, parfois des heures pour montrer Ă  tous que c'en est une... 06/03/2019, 18h31 7 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par harmoniciste Comment se fait-il alors que les tempĂ©ratures mesurĂ©es au fond sont plus basses qu'en surface? Parce-qu'il n'y a pas de lumiĂšre au fond. L'eau est donc froide et refroidit la croute terrestre sous-marine mieux encore qu'Ă  l'air libre puisque l'eau est liquide avec une bonne capacitĂ© calorifique, sans parler du fait que l'eau chaude remonte et est remplacĂ©e par l'eau froide on ne refroidit pas les rĂ©acteurs avec de l'eau par hasard. Maintenant, vous allez me dire qu'il n'y a pas de lumiĂšre sous terre non plus et que contrairement aux ocĂ©ans la tempĂ©rature augmente dans ce cas avec la profondeur. C'est vrai, mais c'est que l'eau est un bon isolant, alors que la roche n'est pas un trop mauvais conducteur thermique. 07/03/2019, 01h38 8 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par LeMulet L'eau est donc froide et refroidit la croute terrestre sous-marine Tu as une drole de conception des lois de la thermodynamique. Si l'eau refroidit la croute, alors, l'eau se rechauffe EnvoyĂ© par harmoniciste Est-ce que je te rĂ©sume bien en disant que tout le flux de chaleur remontant jusqu'aux fonds ocĂ©aniques est transportĂ© par des courants profonds 2 Ă  4°C jusqu'aux cotes glacĂ©es des pĂŽles qu'ils font fondre. Tu prends le probleme du mauvais cote, et arrive a une conclusion erronee L'eau est rechauffee par les fonds oceaniques, il n'y a pas de secret la dedans, ce serait le contraire qui serait etonnant. Maintenant en terme d'energie, il faut calculer quelle quantite de chaleur est transferee... En calculant rapidement donc sans doute beaucoup d'approximations, mais l'ordre de grandeur est sans doute correct, j'arrive a Surface oceanique 360000000km2 Chaleur specifique de l'eau 4,186kJ/kg Energie du flux geothermique oceanique ~0,1J/m2/s Transit thermohalin ~600 ansAugmentation de temperature 0,45ÂșC pour le kilometre d'eau au fond des oceans a diviser de maniere proportionelle si tu veux considerer 4km de colonne d'eau, ca fait ~0,1ÂșC. Maintenant que l'on sait grossierement de quelle valeur on parle, on peut considerer la chose comme quasi-negligeable. Les facteurs qui jouent dans la circulation thermohaline, est comme son nom l'indique, la temperature & la salinite. De maniere generale, l'eau de mer contrairement a l'eau douce est au plus dense pres de son point de fusion. Donc plus c'est froid, plus elle a tendance a migrer vers le fond. Le deuxieme facteur, c'est la formation de banquise eau de mer gelee qui est moins salee ~0,5% que l'eau de mer ~3,5% => il y a un rejet de sel dans l'eau adjacente beaucoup plus salee, la rendant plus dense et entrainant le courant vertical de downwelling qui amene ces eaux froides, salees et oxygenees aux fonds des oceans. Si l'eau descend aux poles, elle doit bien remonter quelque part et cela se fait dans les zones d'upwelling principalement les zones cotieres non polaires. L'upwelling est le plus souvent d'origine bathymetrique et pas pycnique ou thermique. Une fois en surface, l'eau se rechauffe avant d'eventuellement migrer vers les poles. Puis l'eau de fusion glacĂ©e 0 Ă  2°Cretourne se faire rĂ©chauffer sur les fonds ocĂ©aniques ? Peut-on alors en conclure que la majoritĂ© le flux de chaleur remontant du manteau a pour effet principal de fondre les banquises? Non, vu que les variations de surface sont entre -1,8ÂșC aux poles et 30ÂșC mer de Bismarck - equateur, le pouillieme de dixieme de degres ajoute aux oceans par le flux geothermique n'est peut etre negligeable mais certainement pas l'effet principal. En attendant le moment lointain, quand toutes les glaces cotiĂšres auront fondues, oĂč la tempĂ©rature du fond pourra enfin s'Ă©chauffer et s'uniformiser par convection, jusqu'Ă  la tempĂ©rature moyenne de surface ? En periode non glaciaire, la circulation thermohaline diminue fortement et peut entrainer une crise anoxique globale plus d'oxygene au fond des oceans, les rendant 'morts' quelques centaines de metres sous la surface. Dans un tel cas, et si la circulation thermohaline est negligeable, peut-etre peut-on supposer que l'ocean reflete les cellules de convections mantelliques et qu'une convection s'installe au niveau des rides medio-oceaniques ou le flux geothermique est plusieurs fois plus important qu'en plaine abyssale. Aucune idee si cela a jamais ete modelise pour voir si c'est possible. Je doute que les oceans, meme sans banquise, soient si calmes pour permettre l'installation d'un tel systeme convectif. T-K DerniĂšre modification par Tawahi-Kiwi ; 07/03/2019 Ă  01h40. If you open your mind too much, your brain will fall out 07/03/2019, 08h25 9 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par Tawahi-Kiwi L'eau est rechauffee par les fonds oceaniques, il n'y a pas de secret la dedans, ce serait le contraire qui serait etonnant. Bien sĂ»r, mais mon incomprĂ©hension concernait l'Ă©vacuation du flux de chaleur traversant le plancher ocĂ©anique, et qui ne pouvait pas, vu le sens du gradient dans la couche -500 Ă  -2000m, rejoindre directement la surface. Damien et toi m'en avez donnĂ© la clĂ© les courants horizontaux vers les pĂŽles. NĂ©gligeable ou non sur la tempĂ©rature de la banquise, c'est donc nĂ©cessairement lĂ  que s'Ă©vacue la chaleur collectĂ©e sur l'ensemble des fonds ocĂ©aniques. EnvoyĂ© par Tawahi-Kiwi Vu que les variations de surface sont entre -1,8ÂșC aux poles et 30ÂșC mer de Bismarck - equateur, le pouillieme de dixieme de degres ajoute aux oceans par le flux geothermique n'est peut etre pas negligeable mais certainement pas l'effet principal. Je n'ai pas dit que la fonte de la banquise Ă©tait principalement due au flux de chaleur traversant la crĂŽute ocĂ©anique. J'ai dit que ce flux de chaleur devait principalement s'absorber en fusion supplĂ©mentaire de la banquise. J'admet que ce supplĂ©ment puisse ĂȘtre nĂ©gligeable. EnvoyĂ© par Tawahi-Kiwi Augmentation de temperature 0,45ÂșC pour le kilometre d'eau au fond des oceans a diviser de maniere proportionelle si tu veux considerer 4km de colonne d'eau, ca fait ~0,1ÂșC. Vu le sens du gradient dans la couche -500 Ă  -2000m , il ne reste donc que la couche entre -2000 m et le fond oĂč la convection peut homogĂ©nĂ©iser le flux de chaleur. Ton estimation de semblerait alors meilleure. EnvoyĂ© par Tawahi-Kiwi Je doute que les oceans, meme sans banquise, soient si calmes pour permettre l'installation d'un tel systeme convectif. Mon hypothĂšse Ă©tait que sans ces courants de fonds vers les pĂŽles pour Ă©vacuer le flux de chaleur crustal, la tempĂ©rature en profondeur monterait au point de devenir Ă©gale Ă  l'eau de surface. Le faible gradient serait alors dans le bon sens pour permettre une convection active jusqu'Ă  la surface, ocĂ©an calme ou non. DĂ©lais t = cm3 / cal = 1, s ou 5400 ans DerniĂšre modification par harmoniciste ; 07/03/2019 Ă  08h28. 07/03/2019, 09h08 10 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique OUPS Compte tenu des tempĂ©ratures prĂ©existantes , je trouve qu'il faudrait environ 54000 ans pour que le gradient commencent Ă  s'inverser et homogĂ©nĂ©iser les tempĂ©ratures par convection avec la surface. 07/03/2019, 10h19 11 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par harmoniciste J'ai dit que ce flux de chaleur devait principalement s'absorber en fusion supplĂ©mentaire de la banquise. Il peut sans doute s'echanger avec n'importe quoi en surface. Ce n'est pas vraiment quantifiable un fois que l'eau est a 18ÂșC dont 2% sont du au flux geothermique. Vu le sens du gradient dans la couche -500 Ă  -2000m , il ne reste donc que la couche entre -2000 m et le fond oĂč la convection peut homogĂ©nĂ©iser le flux de chaleur. Ton estimation de semblerait alors meilleure. ~ sur cette base de <2000m comme eaux profondes. Je ne pense pas par ailleurs que la convection aie un role significatif a jouer dans un systeme avec cette dynamique. La seule convection franche, c'est le downwelling polaire. Mon hypothĂšse Ă©tait que sans ces courants de fonds vers les pĂŽles pour Ă©vacuer le flux de chaleur crustal, la tempĂ©rature en profondeur monterait au point de devenir Ă©gale Ă  l'eau de surface. Le faible gradient serait alors dans le bon sens pour permettre une convection active jusqu'Ă  la surface, ocĂ©an calme ou non. Si le milieu est n'est pas stratifie, plein de courants, voire de turbulences, la convection importe peu. A nouveau, il faut quantifier cela pour se donner un idee et ne pas juste "penser que". Tu tombes dans le meme travers que la discussion precedente sur l'eustatisme. T-K If you open your mind too much, your brain will fall out 07/03/2019, 10h25 12 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par harmoniciste Le faible gradient serait alors dans le bon sens pour permettre une convection active jusqu'Ă  la surface, ocĂ©an calme ou non. A ma connaissance, il n'y a pas de convection active liee au flux geothermique dans les bassins euxiniques dont la mer Noire, donc d'un point vue purement observationel, ca ne fonctionne pas. T-K If you open your mind too much, your brain will fall out 07/03/2019, 12h31 13 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Le faible gradient serait alors dans le bon sens pour permettre une convection active jusqu'Ă  la surface Si le flux gĂ©othermique est suffisant pour conditionner le profil, il entre comme dĂ©cideur de la convection. Si le flux gĂ©othermique se matĂ©rialise uniquement comme une perturbation, il n'entre plus comme dĂ©cideur de la convection. Il y a une chose implicite Ă  la convection en milieu naturel les perturbations existent toujours partout donc ce qui dĂ©cide de la convection est essentiellement le profil. C'est la grande diffĂ©rence avec la thĂ©orie dĂ©terministe oĂč on arrive Ă  imaginer une perturbation venue de nulle part. Il y a Ă©videmment des cas intermĂ©diaires oĂč les perturbations doivent ĂȘtre suivies. Par exemple, certains types de relief sont plus propices Ă  gĂ©nĂ©rer des perturbations que d'autres. Mais du coup, on passe en climatologie rĂ©gionale. 07/03/2019, 12h36 14 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Je n'ai rien trouvĂ© sur le gradient de tempĂ©rature jusqu'au fond de la Mer Noire. 07/03/2019, 13h51 15 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique Je ne comprend pas oĂč vous voulez aller. J'ai surtout l'impression que vous ne comprenez pas la gravitĂ© de changer d'Ă©chelle. Il ne suffit pas de prononcer des mots de physique, il faut choisir son Ă©chelle. A l'Ă©chelle globale, le flux gĂ©othermique est nĂ©gligeable. Son Ă©nergie se rĂ©percute comme une micro-turbulence sur un profil. A ce stade, il ne dĂ©clenche aucune convection, c'est le profil qui dĂ©cide de la convection. A l'Ă©chelle de la Mer Noire, c'est quasiment la mĂȘme chose puisque les mesures ocĂ©anographiques n'ont rien dĂ©tectĂ©. Si vous voulez trouver quelque chose, allez faire des mesures pendant une Ă©ruption sous-marine, mais c'est une Ă©chelle bien plus petite et finalement c'est un autre monde, une autre discipline. DerniĂšre modification par Cts31 ; 07/03/2019 Ă  13h53. 07/03/2019, 14h39 16 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par Cts31 Je ne comprend pas oĂč vous voulez aller. Il suffit de lire ma question 1 07/03/2019, 14h56 17 Re Flux de chaleur et gradient ocĂ©anique EnvoyĂ© par Cts31 Si vous voulez trouver quelque chose, allez faire des mesures pendant une Ă©ruption sous-marine, mais c'est une Ă©chelle bien plus petite et finalement c'est un autre monde, une autre discipline. En effet, l'energie liberee par un champ hydrothermal sur une ride une eruption c'est plus complique car pas uniquement thermique est de l'ordre du kW/m2, c'est quelques ordres de magnitudes au dessus du flux moyen ...et la, avec 300 ou 400ÂșC de difference entre les eaux profondes et hydrothermales, ca convecte, y'a pas de souci... T-K If you open your mind too much, your brain will fall out Sur le mĂȘme sujet Discussions similaires RĂ©ponses 1 Dernier message 29/01/2016, 07h31 RĂ©ponses 0 Dernier message 06/01/2010, 14h36 RĂ©ponses 52 Dernier message 28/11/2009, 17h54 Flux de chaleur Par titiaa60 dans le forum GĂ©ologie et Catastrophes naturelles RĂ©ponses 3 Dernier message 29/02/2008, 18h34 RĂ©ponses 2 Dernier message 10/12/2007, 10h31 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 07h36.
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Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans Universalis Plaines et collines abyssalesOccupant les parties les plus profondes des ocĂ©ans aprĂšs les fosses ocĂ©aniques, les plaines et les collines abyssales reprĂ©sentent une trĂšs vaste superficie des fonds sous-marins et mĂ©ritent un dĂ©veloppement particulier. Elles occupent, en effet, toutes les aires oĂč n'existent pas de formes de terrain particuliĂšres dues Ă  la tectonique des plaques. SituĂ©es Ă  quelques centaines de kilomĂštres des continents, qui leur fournissent les sĂ©diments qui les remblaient, presque totalement horizontales, Ă  peine accidentĂ©es parfois par des chenaux oĂč se concentre la circulation des sĂ©diments sous forme de coulĂ©es boueuses et sableuses, les plaines abyssales contrastent avec les collines abyssales qui les bordent vers le large et qui sont, pour une trĂšs grande part, des formes le schĂ©ma simplifiĂ© qui est le plus gĂ©nĂ©ralement admis, les plaines abyssales sont bordĂ©es vers le large par les collines abyssales qui les sĂ©parent des derniers contreforts des dorsales ocĂ©aniques, alors que du cĂŽtĂ© du continent elles viennent s'appuyer contre le glacis en pente douce rampe continentale qui forme la base de l'escarpement continental. La rĂ©alitĂ© est parfois plus complexe, et les collines abyssales peuvent aussi bien former des Ăźles ou des archipels au milieu de la plaine abyssale que s'insĂ©rer entre celle-ci et la base de l'escarpement profondeurs moyennes de ces plaines se situent habituellement autour de 5 000 mĂštres, mais elles sont infĂ©rieures dans les mĂ©diterranĂ©es env. 3 000 m dans le golfe du Mexique, et un peu supĂ©rieures autour des archipels du large de l'ocĂ©an Pacifique prĂšs de 5 800 m autour des Ăźles Hawaii et dans l'est de l'ocĂ©an Indien plus de 5 500 m pour la petite plaine abyssale de Perth.Il est rare qu'une plaine abyssale d'un seul tenant dĂ©passe une longueur de 1 500 kilomĂštres. Chaque continent est ourlĂ© d'un chapelet de plaines plus ou moins nettement sĂ©parĂ©es les unes des autres. Parfois, un nuage de reliefs sous-marins Ă©pars, dont la base est ennoyĂ©e sous le sĂ©diment, justifie que de part et d'autre on donne des noms diffĂ©rents aux plaines par exemple dans le Pacifique du Nord-Est, oĂč les limites sont assez floues fig. 2.Dans d'autres cas, une chaĂźne presque continue de collines sous-marines s'Ă©tend depuis le large jusqu'au pied de l'escarpement continental et sĂ©pare nettement chaque plaine de sa voisine. Il est alors frĂ©quent que les deux plaines ne soient pas Ă  la mĂȘme profondeur, et que la plaine la plus haut situĂ©e semble dĂ©verser son trop-plein vers la plus basse par un col ou plusieurs entre les leurs bords, les plaines abyssales s'appuient d'une part contre des collines abyssales entre lesquelles s'insinuent des couloirs subhorizontaux, d'autre part contre l'escarpement continental. La rĂ©partition des plaines et des collines abyssales est donnĂ©e Ă  la figure gĂ©ologiqueOn peut concevoir, pour l'ensemble des plaines et des collines abyssales, une histoire gĂ©ologique qui serait schĂ©matiquement la ocĂ©an s'ouvre, l'Ă©rosion s'exacerbe sur le continent voisin Ă  cause de la proximitĂ© du nouveau niveau de base ocĂ©anique. Les sĂ©diments issus de cette Ă©rosion sont transportĂ©s par les courants de turbiditĂ© vers les flancs de la dorsale ocĂ©anique, alors toute proche du continent, et des plaines abyssales se forment rapidement au pied de l'escarpement continental. Lorsque le continent retrouve son Ă©quilibre et que l'Ă©rosion se calme, cette plaine abyssale ne reçoit plus, comme les flancs de la dorsale, qu'une pluie de sĂ©diments pĂ©lagiques uniformĂ©ment rĂ©partie. Mais sur les chaĂźnons, lorsque la pente initiale est trop forte, les sĂ©diments ne se maintiennent pas et glissent vers les dĂ©pressions voisines, ce qui tend Ă  attĂ©nuer l'Ă©nergie du relief. Un certain relief de collines subsiste cependant, parce que, compte tenu de l'extrĂȘme lenteur des apports en pluie, ces sĂ©diments ont le temps de se compacter, et il faut une pente apprĂ©ciable pour que des glissements aient lieu malgrĂ© cette compaction. Cette sĂ©dimentation inĂ©gale engendre, sur les chaĂźnons les plus externes de la dorsale, un relief plus mou que celui qu'avaient les chaĂźnons ainsi fossilisĂ©s, mais qui contraste avec la monotonie des plaines. Celles-ci, qui reçoivent partout Ă  peu prĂšs la mĂȘme qua [...]1 2 3 4 5 
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Ilpourrait s'agir de l'accroissement, sur les fonds ocĂ©aniques, de 17% de la ZEE polynĂ©sienne. La PolynĂ©sie française pourrait faire l’objet d’une extension de sa zone Ă©conomique

L’importance de la mer et son rĂŽle fondamental C’est par la mer que circulent, depuis des millĂ©naires, les Hommes, les idĂ©es et les marchandises; C’est en lien avec la mer que se sont faites l’essentiel des innovations ayant bouleversĂ© les sociĂ©tĂ©s humaines; C’est par et grĂące Ă  la mer que surgissent ou dĂ©clinent les superpuissances La production Ă©conomique mondiale devrait doubler d’ici Ă  2035, portĂ©e par le rattrapage des pays Ă  haut revenu par les pays Ă©mergents. Les gisements terrestres s’épuisant, pour alimenter la consommation, l’habitat et la production, il faudra trouver de nouvelles ressources. Les mines du futur seront situĂ©es au fond des ocĂ©ans et des mers. Exploitation miniĂšre des fonds marins de quoi s’agit-il ? L’exploitation miniĂšre des fonds marins ou Deep Sea Mining DSM dĂ©signe les procĂ©dĂ©s d’extraction des ressources minĂ©rales situĂ©es Ă  plus de 200-300 mĂštres de profondeur en milieu ocĂ©anique. Les planchers ocĂ©aniques contiennent en grande quantitĂ© les mĂ©taux dont les gisements s’épuisent Ă  terre. On les trouve dans quatre types d’environnements 1. Les nodules polymĂ©talliques Les nodules polymĂ©talliques sont des formations rocheuses de taille variable entre 5 cm Ă  20 cm, prĂ©sentant une forme globalement sphĂ©rique et situĂ©es gĂ©nĂ©ralement dans les plaines abyssales entre 3000 et 6000 mĂštres de profondeur. Nodule polymĂ©tallique Portugal Source Wikimedia Commons Ces nodules se forment trĂšs lentement. Leur croissance est estimĂ©e entre 1 et 10 millimĂštres par million d’annĂ©e. Ils se crĂ©ent par prĂ©cipitation des Ă©lĂ©ments mĂ©talliques de l’eau circulant au fond des ocĂ©ans ou dans les hautes couches sĂ©dimentaires autour d’une roche ou d’un coquillage. Leur composition varie en fonction de l’endroit oĂč ils se sont formĂ©s mais ils sont gĂ©nĂ©ralement composĂ©s de manganĂšse, de silicium, de fer, de cobalt et de nickel. On peut Ă©galement y trouver parfois des quantitĂ©s infimes de terres rares lithium, thallium, molybdĂšne, tellure, etc.. 2. Les sulfures hydrothermaux ou polymĂ©talliques SMS Les sulfures hydrothermaux ou fumeurs noirs » sont situĂ©s Ă  proximitĂ© des sources hydrothermales le long des dorsales ocĂ©aniques entre 1500 et 5000 mĂštres de profondeur. Dans ces rĂ©gions, l’eau pĂ©nĂ©trant dans les couches superficielles de sĂ©diments est chauffĂ©e Ă  haute tempĂ©rature jusqu’à 400° C. Les Ă©lĂ©ments mĂ©talliques prĂ©sents dans ces sĂ©diments s’y dissolvent. L’eau chaude remonte ensuite rapidement vers le plancher ocĂ©anique oĂč l’eau est Ă  environ 2° C. Au contact de l’eau froide, les Ă©lĂ©ments mĂ©talliques se prĂ©cipitent pour former des accrĂ©tions minĂ©rales ayant la forme de cheminĂ©e. Fumeur noir dans le bassin de Lau, Ăźles Tonga. Source Ifremer Au fil du temps, la zone d’accrĂ©tion peut couvrir plusieurs centaines de mĂštres de diamĂštre et contenir entre 5 Ă  17 millions de tonnes de roche minĂ©rale. Chaque zone d’accrĂ©tion est gĂ©nĂ©ralement Ă©loignĂ©e des autres de plusieurs dizaines de kilomĂštres. Le nombre de zones exploitables dans le monde est estimĂ© Ă  250. La composition en mĂ©taux de ces roches est trĂšs variable selon les sites, et dans un mĂȘme site, entre la cheminĂ©e et les roches qui l’environnent. Ces dĂ©pĂŽts contiennent de grandes quantitĂ©s de fer 20-40 % du total, de cuivre 10-20 % et de zinc 10-20 %, ainsi que des quantitĂ©s plus minimes d’argent, d’or, de cobalt, de plomb, de baryum, de cadmium, d’antimoine, de mercure, de terres rares, etc. 3. Les encroĂ»tements cobaltifĂšres CRC Les encroĂ»tement cobaltifĂšres se trouvent sur les monts sous-marins Ă  une profondeur situĂ©e entre 400 et 4000 mĂštres. Ce sont des croĂ»tes » dont l’épaisseur est trĂšs variable et contenant des Ă©lĂ©ments mĂ©talliques trĂšs variĂ©s oxyde de fer et de manganĂšse, cobalt, platine, tellure mais aussi titane, vanadium, cĂ©rium, zirconium et phosphore. EncroĂ»tement cobaltifĂšre prĂšs de Niau, archipel des Tuamotu. Source Ifremer Ils couvrent des surfaces de plusieurs km2 sur des reliefs sous-marins et des volcans immergĂ©s pour une surface estimĂ©e Ă  6,35 millions de km2, soit 1,7 % de la surface des ocĂ©ans. Leur extraction, trĂšs complexe, limite leur intĂ©rĂȘt Ă©conomique pour le moment. 4. Les couches sĂ©dimentaires. D’autres ressources sont Ă©galement prises en considĂ©ration, notamment les sĂ©diments phosphatĂ©s et mĂ©tallifĂšres qui peuvent servir d’engrais et les hydrates de mĂ©thane comme ressource Ă©nergĂ©tique. Exploitation miniĂšre sous-marine Comment ça marche ? Exploitation miniĂšre sous-marine Ă©cologie et environnement Cette frĂ©nĂ©sie d’exploration miniĂšre sous-marine se produit en l’absence de rĂ©gimes rĂ©glementaires ou de zones de conservation pour protĂ©ger les Ă©cosystĂšmes uniques et peu connus des fonds marins. De plus, les recherches scientifiques menĂ©es Ă  ce jour ne permettent pas de garantir que la santĂ© des communautĂ©s cĂŽtiĂšres et des pĂȘcheries dont dĂ©pendent les peut ĂȘtre garantie. Et La France ? La France, elle, concentre ses efforts sur les amas sulfurĂ©s. En raison de leur teneur en mĂ©taux d’intĂ©rĂȘt, il y a infiniment plus de chances sur les amas sulfurĂ©s qu’il n’y en a jamais eues sur des nodules », prĂ©cise Francis Vallat, le fondateur du Cluster maritime français, Ă©galement prĂ©sident du groupe de travail synergie Grands fonds marins. Les amas sont situĂ©s Ă  quelque 1 500 mĂštres de fond, dans les zones volcaniques oĂč l’on trouve les fumeurs noirs. Ces cheminĂ©es crachent des panaches d’eau Ă  350 °C, acide son pH n’est que de 3 ou 4 et chargĂ©e de particules mĂ©talliques qui se dĂ©posent dans un rayon de 50 kilomĂštres. À Futuna, l’Ifremer a explorĂ© la zone entre 2010 et 2013, en consortium avec Eramet et Technip. Et le rĂ©sultat des trois campagnes d’exploration est suffisamment encourageant pour qu’Eramet ait dĂ©posĂ©, au nom de sa filiale SialĂ©O, une demande de permis exclusif de recherche PER. Cette Ă©tape intermĂ©diaire entre l’exploration et l’exploitation permet l’attribution Ă  une entreprise ou Ă  un consortium, aprĂšs mise en concurrence, de l’exclusivitĂ© des droits d’exploration sur une zone, le temps de complĂ©ter ses Ă©tudes prĂ©alables avant d’envisager une entrĂ©e en exploitation. Le dossier est en attente d’instruction, les services du ministĂšre du DĂ©veloppement durable chargĂ©s des ressources miniĂšres ayant constatĂ© qu’un point du code minier n’avait pas Ă©tĂ© transposĂ© pour le territoire de Wallis et Futuna. Des savoir-faire Ă  dĂ©velopper Eramet se positionne d’ores et dĂ©jĂ  comme futur opĂ©rateur si les prochaines campagnes sont concluantes. Ce PER, s’il est accordĂ©, lui permettra de rassurer les investisseurs qu’il souhaite agrĂ©ger au consortium, que toutes les parties jugent trop resserrĂ©. Surtout financiĂšrement. Un atelier franco-allemand s’est tenu Ă  Hambourg dĂ©but mars, l’Allemagne Ă©tant trĂšs intĂ©ressĂ©e. Essayons de bĂątir l’Airbus de demain. On a un bon modĂšle, ce serait bien d’en faire un second », s’enthousiasme l’un des participants. Comme le souligne Francis Vallat [lire aussi page suivante], les entreprises françaises de la filiĂšre tireront plus de bĂ©nĂ©fices des savoir-faire qui seront dĂ©veloppĂ©s, exportables par la suite, que des ressources elles-mĂȘmes. Pour Technip – et de façon plus pondĂ©rĂ©e pour Eramet – l’enjeu n’est pas tant dans l’accĂšs aux gisements que dans le magnifique terrain de jeu que reprĂ©sente ce permis en termes de R & D. Technip qualifie en ce moment une technologie de liaison fond-surface, sur laquelle il a aussi travaillĂ© comme sous-traitant pour TransTasman avant la disqualification du permis, et sur le projet Nautilus d’exploitation des grands fonds au large de la Papouasie-Nouvelle-GuinĂ©e. La grande diffĂ©rence entre remonter des fluides ou du gaz et remonter des solides, c’est que c’est forcĂ©ment plus abrasif, prĂ©cise Julien DenĂšgre, responsable du dĂ©veloppement au Centre d’innovation et de technologie de Technip. Ce qui suppose la qualification de nouveaux matĂ©riaux, et la simulation de modĂšles d’écoulement. » Car il s’agit maintenant de remonter des cailloux dans de l’eau, et non plus des bulles de gaz dans de l’huile. Chez Eramet, cĂŽtĂ© R & D, on travaille notamment sur un traitement minĂ©ralurgique innovant, par flottation, pour rendre in situ le minerai compatible avec des procĂ©dĂ©s pyromĂ©tallurgiques ou autres. Le processus est encore long avant d’envisager une mise en exploitation Ă  Futuna, mais le temps de la mine est long il faut dix Ă  quinze ans pour ouvrir une mine terrestre. Cadre rĂ©glementaire et lĂ©gislatif Un vĂ©ritable code minier des fonds marins n’existe pas encore et l’extraction du sous-sol marin en est encore Ă  ses balbutiements. Depuis le 17e siĂšcle jusqu’au milieu des annĂ©es 1950, les ocĂ©ans Ă©taient rĂ©gis par le principe de la libertĂ© des mers. Ce dernier limite les droits et la juridiction d’un État sur les ocĂ©ans Ă  une Ă©troite bande cĂŽtiĂšre le long de son littoral. Entre 1970-73, l’AssemblĂ©e des Nations Unies dĂ©clare les fonds marins et leur sous-sol, situĂ©s au-delĂ  des juridictions nationales hors des ZEE, patrimoine commun de l’humanitĂ© et les place sous la gestion de l’AutoritĂ© internationale des fonds marins AIFM. Mais L’AIFM ne dispose de pouvoirs rĂ©els que depuis 1994 Ă  la suite de l’entrĂ©e en vigueur de la Convention des Nations Unies sur le droit des mers UNCLOS, ratifiĂ©e par 166 pays. LES BONNES AFFAIRES DU MOMENT !

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nfpl bouches hydrothermales DicionĂĄrio de francĂȘs sinĂŽnimos sources d'Ă©nergie n ensemble des matiĂšres premiĂšres ou des phĂ©nomĂšnes naturels utilisĂ©s pour produire de l'Ă©nergie DicionĂĄrio de francĂȘs DefiniçÔes DicionĂĄrio Colaborativo FrancĂȘs SinĂŽnimos prĂȘt contingentĂ© nm. prĂȘt distribuĂ© dans la limite des fonds disponibles plate-forme continentale n. zone marine Ă  faible profondeur 0 Ă  -200m qui sĂ©pare le rivage des grands fonds ocĂ©aniques [Mar.] fancy-fair nf. en Belgique, une fĂȘte de bienfaisance organisĂ©e pour lever des fonds pour une Ɠuvre caritative, une Ă©cole ou une association. L'Ă©quivalent en France est "la kermesse". Pl. fancy-fairs. manger la grenouille v. 1. partir avec la caisse 2. dĂ©rober et dilapider des fonds dont on avait la garde Expressiofamilier et vieilli ! Fonds nm n. Sol d'une terre, d'un champ fonds euro n. produit d'Ă©pargne Ă  capital garanti support financier sĂ©curisĂ© sur lequel le souscripteur d’un contrat d’assurance vie peut investir son Ă©pargne Assurance fonds marins n. dĂ©clarĂ©e "patrimoine commun de l'humanitĂ©" par l'ONU, cette zone sera explorĂ©e et exploitĂ©e sous la conduite d'une AutoritĂ© créée par la convention de Montego Bay signĂ©e le 10 dĂ©cembre 1982. [Leg.] fonds dominant n. immeuble bĂąti ou non bĂąti au profit duquel est Ă©tablie une servitude. [Leg.] faire les fonds de tiroir v. rechercher dans ses derniĂšres ressources ; aller chercher dans ses derniers retranchements financiers surtout user ses fonds de culottes exp. acquĂ©rir de l'expĂ©rience ! ressourcer se vpr v. revenir Ă  ses sources, Ă  ses racines Ă©nergie renouvelable nf. Ă©nergie issue de sources qui se renouvellent naturellement [Ecol.] ce n'est pas l'Ă©nergie qui est renouvelable, mais les sources qui permettent la production de cette Ă©nergie hybride adj. se dit d'une automobile, d'un moteur, etc. pouvant fonctionner avec des sources d'Ă©nergie diffĂ©rentes automobile la plupart des voitures hybrides actuelles fonctionnent Ă  l'Ă©lectricitĂ© ou Ă  l'essence passif, ive adj. se dit d'un logement utilisant les sources de chaleur disponibles soleil, occupants, Ă©lectromĂ©nager... comme moyen de chauffage [Ecol.] exemple "les maisons passives sont pourvues d'une ventilation avec rĂ©cupĂ©ration de chaleur" ! gĂ©nĂ©rateur, trice adj n. qui gĂ©nĂšre nm appareil produisant du courant Ă©lectrique Ă  partir d'autres sources d'Ă©nergie bail Ă  domaine congĂ©able n. convention par laquelle le propriĂ©taire d'un fonds rural cĂšde au preneur, moyennant un fermage annuel, avec la jouissance du fonds, la propriĂ©tĂ© de la superficie Ă  la condition que, lors du congĂ© ou congĂ©diement, il pourra reprendre la propriĂ©tĂ© superficielle, moyennant indemnitĂ©. [Leg.] couler de source exp. 1. ĂȘtre la consĂ©quence normale d'un fait 2. aller de soi Expressio Para acrescentar entradas Ă  sua lista de vocabulĂĄrio, junte-se Ă  nossa comunidade. É fĂĄcil e rĂĄpido Archivesdu forum; Commentez les actus, dossiers et dĂ©finitions; Actu - En vidĂ©o : la colonisation des fonds ocĂ©aniques par les dĂ©chets ; Affichage des rĂ©sultats 1 Ă  2 sur 2 Actu - En vidĂ©o : la colonisation des fonds ocĂ©aniques par les dĂ©chets. 12/06/2013, 14h50 #1 RSSBot. 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